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Que réserve le Google 2013?

Que réserve le Google 2013?

 

Google en 2013Avec le début de la nouvelle année viennent souvent les résolutions… et les prédictions! Je me risque donc, un peu tardivement j’avoue, avec 4 tendances qui je crois vont se révéler chez Google au cours des 12 prochains mois dans les domaines du marketing Web et du référencement.

1. Google + sortira de l’ombre “geek”

Usage des médias sociaux dont Google+Frédéric Therrien l’illustre parfaitement avec cette image digne d’Homer Simpson! Chaque média social possède une particularité ou s’adresse à une clientèle ciblée (LinkedIn pour les professionnels et le recrutement par exemple). Bien qu’il y ait du maraudage et que ces sites soient tous un peu en compétition, chacun possède son noyau dur de fidèles. Certains comme Instagram ont connu une croissance rapide et un gain de valeur inespéré, alors que d’autres comme Quora semblent toujours chercher leur véritable voie.

Ce qui distingue Google+, c’est bien sûr la puissante machine qui le supporte. Bien qu’ayant des qualités indéniables, ce réseau pour le moment est surtout utilisé par les professionnels du Web. Par contre, contrairement à l’expérience précédente de Google Wave, cette fois le géant de Mountain View met tout sont poids dans ce nouveau réseau.

L’ancien Google adresses doit maintenant être lié à un compte G+ local avant toute nouvelle mise à jour. Pour certaines marques -dont Voyages à Rabais– la page de profil apparait directement dans les résultats de recherche. De plus, il faut tenir compte qu’en 2013 l’authorship, qui permet d’avoir sa photo et son profil associé à ses écrits, gagnera rapidement en popularité.

2. La multiplication des sources de valeur seo

Le référencement Web de qualité sera selon moi dans la prochaine année beaucoup plus que simplement trouver des liens. Plusieurs centaines des critères sont pris en compte pour établir la valeur d’une page selon chaque mot-clé. Matt Cutts répète sans cesse que les liens et tout ce qui entoure votre contenu se doit d’être naturel. Autrement dit que ce lien a été obtenu seulement parce l’auteur de la page ou du site le voulait, sans aucune demande, indication ou échange.

Il y a quand même quelques zones grises. Par exemple, la rédaction d’un billet sur un autre blogue est encouragée, mais à condition que l’article proposé soit de qualité et pas seulement du remplissage. Comment peuvent-ils le mesurer? Entre autres par certains ratios entre les différents liens, les mots-clés utilisés, les mentions sociales, etc.

Évidemment, je n’ai pas les ingrédients de la recette. Un site qui se concentre trop dans un secteur sera à moyen terme pénalisé, car les ratios, par rapport à la majorité des autres sites du même secteur, seront trop différents pour être “naturels”. L’époque de la stratégie unique pour tous les sites est bel et bien révolue; place maintenant à personnalisation pour chacun.

3. L’utilisation du Web sémantique prendra un véritable envol

Je vous ai parlé de l’authorship un peu plus haut. Les résultats uniques tels qu’on les connait vont lentement devenir de plus en plus rares. L’objectif avoué de Google est de vous apporter l’information que vous recherchez, davantage que le site qui à cette information. Le nombre d’étoiles pour les hôtels (dans certains cas le prix), les définitions, horaires de cinéma, de vols, etc. sont quelques exemples où l’information est disponible directement sur le moteur de recherche, sans avoir à se déplacer sur le site qui possède l’information… à moins de vouloir creuser la question. C’est donc dire que chaque clic aura plus de valeur puisque le visiteur aura déjà fait un premier tri dans ce qu’il recherche.

Il va donc sans dire qu’apparaitre dans ces résultats à valeur ajoutée deviendra très utile, parfois même essentiel. Dans plusieurs cas, la mise à jour et le respect des normes contenues dans le site schema.org sera donc essentiel.

Dans un autre ordre, la personnalisation des résultats selon ce que VOUS recherchez sera de plus en plus évidente. Selon ce que vous avez cliqué dans le passé, les résultats seront différents pour vous et votre voisin. Si en plus vous êtes actif sur G+, ce que vos relations cliquent et recommandent pourra aussi avoir une influence sur ce qui apparaitra sur votre écran. Avoir une réputation en ligne sans tâche, des liens de qualité, du contenu intéressant (lire qui génère un taux de rebond faible) seront des mesures à considérer avec encore plus de soins.

Pour les autres, vous pouvez utiliser duckduckgo.com

4. L’analyse des données à toutes les sauces

Universal Analytics s'en vientCe n’est pas un secret, rares sont maintenant les gens qui utilisent le Web avec un seul ordinateur, pour la plupart, c’est maintenant sur 3 ou 4 appareils que l’on navigue (maison, bureau, tablette, téléphone). Lorsque vient le temps d’analyser la performance de son site, cette multiplication des sources pour un même utilisateur rend la tâche bien plus complexe. Google a annoncé l’automne dernier Universal analytics. Le grand changement viendra du fait que les visiteurs uniques ne seront plus seulement mesurés en fonction d’un cookie placé sur chaque machine, mais aussi avec un identifiant lié à l’adresse Gmail pour savoir si vous êtes déjà passé avec un autre appareil. Bien que d’autres solutions analytiques soient beaucoup plus performantes, la présence et l’usage d’un compte Google à de très multiples niveaux (G+ par exemple) donnera un avantage unique à cet outil dans la compréhension des comportements.

Le stratège Web, plus utile que jamais!

Selon moi, le travail du stratège Web deviendra plus complexe encore et les sources pour augmenter la notoriété et la performance d’un site, quel qu’il soit seront plus vastes que jamais. Le vrai défi consistera donc, dans plusieurs cas, à trouver le bon grain et travailler autrement qu’au “pif-o-mètre” ou selon la mode du moment.

Une analyse FFOM de votre site web

Une analyse FFOM de votre site web

Il est souvent difficile de visualiser l’ensemble de ses efforts en marketing Internet sur une seule page. En marketing “traditionnel” (je l’écris ainsi pour imager même si je n’aime pas l’exprimer de cette façon, car à plusieurs égards, sur le Web aussi c’est du marketing traditionnel,  mais avec de nouveaux véhicules), un outil simple à première vue, mais très efficace est l’analyse FFOM.

L’analyse FFOM, ou SWOT en anglais, se résume en quatre cases: forces, faiblesses, opportunités et menaces. La beauté de cette matrice c’est qu’en même temps elle isole les aspects positifs et négatifs, de même que ceux qui sont internes ou externes à l’entreprise. Une telle analyse permet de résumer en une seule page ce qui fonctionne bien dans une PME, ce qui nuit et ce sur quoi il faut mettre l’emphase.

Un analyse FFOM de votre site

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:SWOT_grapheFL.jpg

Une analyse FFOM peut donc selon moi être facilement adaptée pour mesurer votre performance Web. Tout ce qu’il vous faut c’est un tableur ou même un traitement de texte. Je vous propose ce matin mon modèle d’analyse FFOM adapté pour une présence Web. Trouvez les réponses selon cette matrice et vous y retrouverez un portrait précis des efforts faits jusqu’à aujourd’hui:

PositifNégatif
Interne(votre site)

Forces

-Votre site est-il trouvé facilement?

-Les ventes sont-elles en hausse?

-Recevez-vous des demandes ou nouveaux contacts?

-Le nombre de visites est-il en hausse?

-Avez-vous des commentaires sur vos billets de blogue?

 

Faiblesses

-Votre entonnoir de conversion vous indique-il où les clients décrochent?

-Avez-vous des visites sur votre page de contact même si personne n’écrit?

-Quel est votre taux de rebond?

-Trouvez-vous votre site beau et à jour (demandez aussi autour de vous)?

-Est-ce que votre site Web est canonique (apparaît seulement avec OU sans les www)?

Externe

Opportunités

-Quels sont les principaux sites Web référents?

-Avez-vous vous un auditoire fidèle sur votre page Facebook ou sur Twitter?

-Faites-vous un veille dans votre secteur? Répondez-vous aux questions ouvertes même si vous ne connaissez pas la personne?

-Commentez-vous sur les blogues externes?

-Proposez-vous d’écrire comme invité sur des sites de références?

Menaces

-Est-ce que vos compétiteurs sont mieux positionnés que vous sur les moteurs de recherche?

-Répondez-vous toujours la journée même aux commentaires et questions qui vous sont posées?

-Est-ce qu’il y a des commentaires négatifs qui circulent à votre endroit (sur votre profil Google adresses par exemple)?

 

 

C’est n’est bien sûr qu’une base de réflexion. La beauté d’une analyse FFOM comme celle-ci est que vous pouvez l’adapter très facilement à votre situation. Vous aurez ainsi un portrait précis de votre situation. Vous pourrez par la suite refaire l’exercice aux 3 ou 6 mois, ce qui vous vous montrera l’évolution de votre marketing Web.

Autre point à ne pas négliger: QUEL EST VOTRE OBJECTIF?

Merci à Francine Morin pour la suggestion de ce billet.

Moins de résultats sur la première page de Google?

Moins de résultats sur la première page de Google?

 

Depuis quelque jours, mardi en fait, je remarque des changements dans les résultats de recherche pour les marques, celles qui ont des «sitelinks».

Moins de résultats de recherche sur la première page de Google

Comme on le voit ici avec l’exemple de l’agence Voyages à Rabais,  il n’y a plus les traditionnels 10 liens, comme j’ai toujours observé depuis des années. Il n’y en a plus que sept, comme si les trois autres étaient dorénavant remplacés par les liens de site sous le premier résultat. Avant, il y avait quand même dix sites au total, donc treize lignes de haut.

Pourquoi un tel changement? Difficile à dire… Même si la grande majorité du temps on ne s’en aperçoit pas, Google procède continuellement à des tests sur ses pages. Il s’agit peut-être ici d’un test qui ne durera que quelques jours ou quelques semaines, ou qui au contraire restera en permanence si l’expérience s’avère concluante.

Si je devais y placer mes deux cents, je dirais que le but est de standardiser la hauteur des pages de résultats, avec ou sans ces liens de site. Cela fait du sens si le but est d’augmenter le taux de clics sur les publicité en bas de page, puisqu’il faut maintenant moins de «scroll» pour y arriver.

Rien ne se fait pour rien chez Google!

Et vous, votre théorie?

Que réserve le Google 2013?

La meilleure façon de réussir sur le web

 

Je sais, ce titre fait un peu vendeur de fond de ruelle, mais c’est voulu (vous verrez pourquoi plus loin). Malheureusement je vais vous décevoir si vous cherchiez une formule magique. Ceci dit, il y a quand même un peu de vrai.

Pour réussir sur le web:

Sachez exactement à qui vous parlez avant de lui adresser la parole!

Pour réussir sur le web, il ne faut pas attendre que le succès pousse dans les arbres

Facile à dire, mais si je cherche de nouveaux clients, comment savoir si je mise sur le bon segment? À cette question, la meilleure réponse ne peut être que celle de Paulie dans Rocky x (x car je ne sais plus lequel!): “Prends-en un et rentres-lui dedans!” Bref, sur le web, il ne faut s’adresser qu’à une seule personne à la fois. Les choix et les offres sont si immenses que votre prospect ira rapidement voir ailleurs s’il a l’impression que vous ne vous adressez pas à lui directement.

 

 

Comment identifier un persona?

Pas facile à répondre, surtout s’il s’agit d’un nouveau marché. Voici quelques questions qui vous aideront à identifier votre clientèle cible:

  • Comblez-vous une demande personnelle ou un besoin d’entreprise?
  • Est-ce quelque chose de vraiment utile, d’accessoire ou un divertissement?
  • Personnellement, l’utiliseriez-vous en journée, le soir ou pendant les congés?
  • Est-ce quelque chose qui s’achète facilement sur un coup de tête ou qui devrait être discuté en famille ou avec la direction?

Vous pouvez aussi faire des petits sondages avec des amis, ou simplement avec vos contacts web afin de valider votre première impression. Mais déjà avec ce type de question, vous aurez une idée beaucoup plus précise de la personne avec qui vous voudrez entrer en contact.

Maintenant, où est-elle cette personne?

Ici non plus pas de réponse automatique, mais selon les résultats que vous aurez au point précédent, vous trouverez rapidement des pistes. Par exemple:

  • S’il s’agit d’une audience limitée, les contacts personnalisés et les infolettres auront un bon impact pour l’investissement (j’écrirai bientôt sur le “social CRM”)
  • S’il s’agit d’une nouvelle clientèle qui est peu récurrente (financement hypothécaire par exemple), le référencement naturel et payant sont vos planches de salut.
  • S’il s’agit d’un produit d’usage répétitif et dont les clients aiment parler, c’est alors une bonne idée de les inciter à en parler sur les réseaux sociaux et ainsi faire connaître votre merveilleuse entreprise à vos amis.

Ne vous méprenez pas. Il ne s’agit pas de mettre tous vos oeufs dans le même panier, mais d’identifier quel est le premier point de contact entre vous et votre futur client. Si vous avez déjà un site web, l’analyse des conversions multi-canaux peut être une bonne source de données.

Avec toutes ces informations en main, ils vous sera beaucoup plus facile de mettre en place une stratégie de développement. Et vos chances de réussir sur le web n’en seront que décuplées!

Ah oui, Pourquoi avoir choisi ce titre? Parce que dans le cas de ce billet de blogue, la personne visée est un entrepreneur qui a un bon projet entre les mains, mais qui s’interroge sur la meilleure façon de le faire connaître sur internet… et donc de réussir sur le web!

Est-ce votre cas?

 

Vous êtes votre pire conseiller

Vous êtes votre pire conseiller

Vous êtes votre pire conseiller.

Je ne sais pas d’où cela vient, mais depuis longtemps j’ai en tête l’expression “Un avocat qui se défend lui-même à un imbécile comme client!” Une façon de dire qu’il faut parfois chercher des conseils à l’extérieur de son champ de vision afin d’avoir une vue d’ensemble.

Cela s’applique également au web. Que ce soit  pour la création de son site, de ses activités sur les réseaux sociaux ou sur la façon de convertir un visiteur en client, l’erreur la plus commune consiste à ne se fier qu’à sa propre expérience. Or, comme vous avez constamment le nez plongé dans votre projet, il devient rapidement difficile de le voir comme celui qui découvre votre produit ou service pour la première fois.

Demandez l’avis de vos amis

Même s’ils n’ont aucune chance de devenir clients, les amis ou groupe sociaux sont souvent d’excellents sources d’inspiration. Parlez de votre projet, de vos doutes et questionnements, ainsi que de vos objectifs pour les prochaines années. Les commentaires et discussions qui s’en suivent donneront un excellent aperçu de la perception que votre offre risque de provoquer. Tout cela au coût de seulement quelque bières!

Vous pouvez aussi lancer une idée ou une question sur vos réseaux, l’impact sera semblable.

Mettez un sondage en ligne

Il existe plusieurs outils de sondage en ligne, comme Survey Monkey, qui offrent des versions de base gratuites. 4 ou 5 questions sur la perception de votre produit, s’il y a de l’intérêt, ou peut-être même des concurrents que vous ne connaissez pas encore.

Testez vos titres et vos concepts.

À l’ère des services web, il est très facile et peu coûteux de faire des tests en lignes. en voici quelque exemples:

  • Faites un mini campagne de publicité sur AdWords. Utilisez la même annonce en ne changeant que le titre. Vous verrez alors sans  peine lequel accroche le plus. Idéalement, la page de destination contiendra une petite explication avec un formulaire pour être tenu au courant de l’évolution du projet. Ainsi, votre évaluation se fera non seulement sur le nombre de clics, mais aussi sur l’intérêt manifesté.
  • Faites des test a/b. Il est possible pour une même page d’afficher 2 ou 3 versions et d’analyser les comportements. Il faut bien sûr pour cela avoir un objectif clair et mesurable, comme une vente ou une prise de contact.

Il existe bien sûr de nombreux autres trucs. Avoir une place une bonne stratégie web est sans doute le meilleur point de départ pour s’assurer du meilleur succès.

Créer un WOW sur son site (3e partie de "êtes-vous rentable sur le web?")

Créer un WOW sur son site (3e partie de "êtes-vous rentable sur le web?")

Créer un WOW pour donner envie de devenir client

Maintenant vos mots-clés sont bien identifiés et vous recevez des prospects de qualité sur votre site.

Que faites-vous pour les convaincre que votre offre est la meilleure? Que dis-je! Que votre offre est la SEULE qui mérite d’être considérée… Bref, que faites-vous pour générer une WOW sur votre site web?

Voici donc 5 petites questions à vous poser lorsque vous regarderez la page de destination de votre prospect internet.

1- Soyez pertinent

Le pire service que vous pourriez vous rendre, c’est de prouver à vos visiteurs que vous ne connaissez rien à ce que vous voulez vendre! Vérifiez vos sources, regardez ce qui à déjà écrit sur la question, comment vos compétiteurs abordent la question et… faites tout ce qui est possible pour proposer mieux.

2- Soyez clair dans votre (pas vos) attente

Toute bonne page de destination (la première page que votre prospect visite) devrait avoir un appel à l’action clair et bien visible (traduit de l’anglais “call-to-action” ou CTA). Comme ici sur mon blogue, le gros bouton “Demandez une soumission” devrait vous indiquer que je recherche de clients. Une fois sur cette page, les boutons à cocher indiquent clairement les services que je souhaite offrir. Si je dois parcourir plusieurs pages avant de trouver l’offre de votre site, c’est autant de risques de quitter avant d’y arriver!

D’autre part, si vous donnez trop de choix au même endroit, vous risquez de ne pas être clair. Vous vous devez donc d’avoir une proposition principale claire (demandez une soumission), ce qui n’empêche pas 1 ou 2 buts secondaires (comme s’inscrire pour recevoir les billets futurs par courriel).

3- Ne compliquez pas la vie de ceux qui veulent vous parler

Trop souvent je tombe sur des exemples de ce qu’il ne faut pas faire. Lorsque votre prospect est prêt à devenir client, surtout, rendez-lui la vie facile! Un formulaire trop contraignant est l’exemple le plus courant: pourquoi demander obligatoirement l’adresse complète et le numéro de téléphone si vous allez le contacter par courriel est le meilleur exemple de toute façon? Si la relation d’affaires va plus loin, vous aurez amplement le temps de demander tout ça!

Sur un site de commerce électronique, c’est un peu plus complexe, car toute la relation client se passe sur le site. L’utilisation et l’analyse d’un entonnoir de conversion deviennent alors des plus utiles. Ce dernier vous indiquera le comportement des visiteurs et où ils abandonnent le processus d’achat; vous saurez donc à quel endroit travailler pour créer ce WOW s’il n’est pas assez clair.

4- Soyez prompt à répondre

Vous manquez de temps, êtes-pressé et très occupé? Votre prospect aussi! Ne lui faites pas perdre son temps, car il ira voir ailleurs. Un délai de 24 heures est le maximum absolu. Idéalement si vous ne pouvez répondre dans l’heure, essayez de donner de vérifier les demandes matin, midi et soir. Ce sont ces petites attentions qui contribueront à construire votre réputation. Cela est d’autant plus vrai à l’heure des médias sociaux.

5- Surtout, soyez patient

Sur le web, peut-être plus qu’en personne parfois, la confiance et la réputation, ça se construit brique par brique… ou pixel par pixel! Il faudra être patient et maintenir le cap pendant des semaines, voire des mois. Mesurer, évaluer, corriger… et recommencer.

C’est ainsi que vous vous construirez une solide réputation et que vos affaires deviendront fleurissantes!