Connaissez-vous l’hydro-ensemencement? Probablement que non. C’est une alternative très intéressante et souvent moins dispendieuse que la pose de tourbe. Les gazons durables Bélanger offre ses services aux secteurs résidentiel, commercial et municipal.
Mandat
Comme le produit offert est relativement peu connu, notre mandat est de faire découvrir celui-ci. Nous avons donc élaboré une campagne publicitaire AdWords qui vise non seulement à faire connaître ce procédé à ceux qui veulent acheter de la tourbe mais aussi à le présenter aux acheteurs qui connaissent déjà l’hydro-ensemencement.
Voici le témoignage du propriétaire M. Benoît-Marc Bélanger:
J’ai démarré mon entreprise en septembre 2016. Pour commencé j’ai fait plusieurs publicités par moi-même, mais sans impact majeur. J’ai donc fait affaire avec Quoly et c’est là que tout a commencé.
L’équipe a bien pris le temps de comprendre ma compagnie et sa nature. Nous avons travaillé par la suite sur une demande de soumission adaptée à ma situation et besoins (compagnie en démarrage avec très peu de clients). Par la suite, ils ont travaillé sur le produit publicitaire AdWords tout en respectant les délais convenus dans la soumission.
C’est à partir de ce moment que tout a changé. La compagnie a maintenant une excellente visibilité sur le Web. Les clients sont maintenant très nombreux. Le succès de la compagnie commence par l’équipe Quoly qui a bien su cibler la clientèle. Seulement un mois après le lancement de la campagne et le chiffre d’affaires de ma compagnie n’est plus du tout le même.
Le service est rentable et l’équipe très professionnelle.
La réponse courte: oui, une très bonne partie de votre vie est contrôlée par une multitude algorithmes maintenant. L’exemple le plus évident, pour nous qui travaillons avec Google tous les jours, est celui qui décide l’ordre dans lequel les sites Web apparaissent dans les résultats de recherche. Mais ça va beaucoup plus loin que ça!
Tout au long de cette conférence de 15 minutes présentée au TED, l’entrepreneur dans le domaine des jeux vidéos Kevin Slavin démontre avec une pointe d’humour que les algorithmes sont partout… et peut-être aussi hors de contrôle.
Vous en doutez? Est-ce que vous faites des achats sur Amazon? Regardez du contenu sur YouTube ou Netflix? Investissez en Bourse? Si vous avez répondu oui, vous êtes en contact constant avec ces lignes de codes qui vous guident et influencent vos décisions. Vous allez constater que c’est à la fois très fascinant et un peu troublant à quel point nous sommes à la merci des algorithmes. Bon visionnement!
Pour une neuvième année consécutive, le site d’emplois Glassdoor dévoile ses annual Employees’ Choice Awards.
C’est une liste de 50 entreprises qui méritent la qualité d’employeur de choix et ce, suite à un sondage en ligne auprès des utilisateurs de Glassdoor. Facebook n’en est pas à sa première place dans ce classement au niveau des employeurs technologiques. En effet, il a remporté la palme en 2011 et en 2013, occupant la cinquième place l’an dernier.
La liste des employeurs technos de choix aux États-Unis en 2017
2- Facebook 4- Google 5- World Wide Technology 6- Fast Enterprises 8- LinkedIn 9- Adobe 14- Paylocity 15- SAP 16- MathWorks 17- Salesforce 20- Intuit 23- Docusign 24- Concur 25- Akamai 29- Zillow 30- NVIDIA 35- Airbnb 36- Apple 37- Microsoft 42- Texas Instruments
Et au Canada?
Au Canada, l’entreprise qui mérite le titre de l’employeur de choix est la plateforme de commerce électronique ontarienne Shopify. D’ailleurs, son chiffre d’affaires double pratiquement à chaque année, ce qui est très bon signe il faut l’avouer. Voici le top 10 du palmarès général de Glassdoor au Canada:
1- Shopify 2- Ceridian 3 -ATB Financial 4- Salesforce 5- Cisco Systems 6- Apple 7- Fairmont Hotels & Resorts 8- PCL Construction 9- Sephora 10- SAP
Quand une entreprise fait appel à une firme comme la nôtre, c’est-à-dire spécialisée dans le référencement Web (SEO), son désir le plus profond est de figurée en tête des résultats de recherche sur Google. Avec raison. Dans ce billet, je ne vais pas m’attarder sur les moyens pour y parvenir, j’exposerai seulement quelques chiffres qui prouvent encore une fois que le référencement organique doit être une priorité dans votre stratégie numérique.
Près de 30% des clics se font sur le premier résultat naturel
Vous avez bien lu, lorsqu’un internaute recherche un terme générique ou une marque, il y a presqu’une chance sur trois qu’il décide de cliquer sur le premier résultat naturel (directement en dessous des liens commerciaux). C’est en effet ce qu’on peut constater sur le site advancedwebranking.com
À partir d’un ordinateur, c’est presque 30% des consommateurs qui se dirigent sur le premier résultat alors que sur mobile c’est plus ou moins 24%.
Si on combine les résultats 1, 2 et 3… c’est 50%!
Lors d’une recherche effectuée pour une marque en particulier, le premier résultat est cliqué dans près de 40% des cas. Si la recherche est celle d’un terme générique, le taux de clic tombe à 26%. Dans les deux cas, le deuxième et le troisième résultat obtiennent à peu près le même % de clic, soit approximativement 16% et 9% respectivement.
Fait intéressant, on remarque des variations sur le taux de clic quand même assez marquées quand l’intention de la recherche diffère. Par exemple, si le seul but est d’obtenir une information sur un sujet, un service, une nouvelle ou un produit, le premier résultat obtient 30% des clics. Par contre, si la recherche contient des termes en lien avec un lieu (par exemple: près, le plus près, route, carte, directions vers, etc.), le taux de clic baisse sous les 25%.
Encore cette année, Wolfgang Digital nous livre un rapport détaillé sur les statistiques et indicateurs de performance (KPI) concernant les sites Web de commerce en ligne (e-commerce). Question de simplifier le tout, MOZ a déposé en ligne une douzaine de faits saillants de ce rapport via un article intitulé: A Dozen Digestible Takeaways from 2016’s E-Commerce Benchmarks Study. Dans ce billet, je vais moi-même vous exposer quelques points que je trouve particulièrement intéressants et qui démontrent l’importance de se tourner vers le commerce en ligne en 2016. Prêt?
Taux moyen de conversion: 1,48% (+10% comparé à l’an dernier)
Le taux de conversion est sans doute l’indicateur de performance le plus crucial pour une boutique en ligne. Qu’est-ce que le taux de conversion? C’est le rapport entre le nombre de transactions effectuées et le nombre de visites sur votre site Web. Un taux de 1,48% indique donc qu’il vous faut 68 visites pour réaliser une vente. On ne parle pas ici de visiteurs uniques, donc il est très fréquent qu’un internaute visite le même site plusieurs fois avant l’achat. Si on regarde le secteur du voyage, ce taux grimpe à 2,04%.
Autre fait qui est très (TRÈS) intéressant: plus votre trafic est important, meilleur est votre taux de conversion.
Le SEO n’est pas mort… c’est tout le contraire!
Le trafic naturel (organique) provenant de Google représente 43% des visites et 42% des revenus de votre site de commerce en ligne. C’est une augmentation de 5% comparativement à l’an dernier. De plus, les gens achètent plus (en dollar) quand ils arrivent sur votre site sans passer par la publicité numérique. Raison de plus pour mettre l’emphase sur du contenu de qualité via un blogue par exemple.
Par contre, il ne faudrait surtout pas négliger Google AdWords!
AdWords est à lui seul responsable de 26% du trafic et 25% des revenus en moyenne. Donc, au total, Google attire en moyenne 69% des visiteurs sur votre site Web. Facebook? 5% (4 fois plus que l’année dernière!).
L’infolettre attire plus de visiteurs que tous les réseaux sociaux… combinés.
En effet, l’infolettre représente actuellement 6% du trafic et des revenus des sites Web de commerce en ligne. C’est donc toujours un moyen très efficace de rejoindre vos clients actuels et potentiels. Mettre de l’énergie dans cette forme de publicité plutôt que dans le dernier réseau social à la mode… une bonne idée? ;)
Votre site doit être plus rapide que jamais.
Les internautes sont de moins en moins patients. Quelques secondes d’attente de trop peut facilement vous faire perdre une vente. Sans compter que le temps de chargement est un critère dans l’algorithme de Google. Notez que chaque fois que vous retranchez 2 dixième de seconde, vous augmentez votre taux de conversion de 8%.
Les gens n’achètent pas encore sur mobile
Bien que le trafic provenant du mobile atteint un très respectable 42%, le pourcentage des revenus ne sont que de 21%. Ceci est facilement explicable par le fait que le consommateur magasine confortablement assis sur son divan mais quand vient le temps de conclure, c’est souvent plus aisé et convivial de remplir un formulaire complet sur son ordinateur.
Au menu cette semaine de ma chronique techno sur les ondes de Passion FM à l’émission Le Réveil avec Stéphan Viau : Le rachat de Yahoo! et de DollarShaveClub
Pour faire l’écoute de ma chronique du 26 juillet 2016: cliquez ici.