Notre équipe est située au DigiHub de Shawinigan et se spécialise dans la mise en place et l’optimisation d’outils stratégiques pour améliorer la performance des entreprises québécoises en étant facilement retrouvées sur le Web. Notre clientèle vise autant le marché local, provincial, national qu’international. Nous sommes une agence accréditée Google Partner.
Parmi les nombreux défis à relever (qui sont aussi ceux de nos clients), vous aurez à contribuer à mettre en place les outils et stratégies définis par les objectifs d’affaires. L’équipe et l’expertise de Quoly vous amènera à acquérir des connaissances uniques dans les domaines de l’analytique Web, la programmatique et le “tag management”.
On recherche un passionné du Web qui aime relever les défis d’une jeune entreprise en pleine croissance.
Principaux rôles
Analyser la performance SEO de nombreux sites Web et proposer des solutions aux lacunes de ces derniers.
Effectuer le suivi des campagnes AdWords et créer/gérer des scripts pour optimiser/automatiser les processus
Configurer et optimiser les mesures de performances (KPI) sur les sites Web des nos clients, entre autres avec Google Analytics et Google Tag Manager
Créer et générer des rapports de performance avec Google Data Studio et Supermetrics
Créer et mettre en place des alertes
Faire des tests A/B avec Google Optimize et Optimizely
Les compétences et qualités recherchées
Langages de programmation à connaître:
JavaScript
HTML
CSS
jQuery
Regex
Connaissance de base en graphisme et intégration
Excellente maîtrise du français oral et écrit
Avoir une base fonctionnelle de l’anglais oral et écrit
Être débrouillard et autonome
Aimer apprendre continuellement
Certification Google Adwords/Google Analytics (un atout!)
Conditions
Temps partiel (possibilité de temps plein)
Horaire de travail variable et possibilité de travailler partiellement de l’endroit de ton choix
La réponse courte: oui, une très bonne partie de votre vie est contrôlée par une multitude algorithmes maintenant. L’exemple le plus évident, pour nous qui travaillons avec Google tous les jours, est celui qui décide l’ordre dans lequel les sites Web apparaissent dans les résultats de recherche. Mais ça va beaucoup plus loin que ça!
Tout au long de cette conférence de 15 minutes présentée au TED, l’entrepreneur dans le domaine des jeux vidéos Kevin Slavin démontre avec une pointe d’humour que les algorithmes sont partout… et peut-être aussi hors de contrôle.
Vous en doutez? Est-ce que vous faites des achats sur Amazon? Regardez du contenu sur YouTube ou Netflix? Investissez en Bourse? Si vous avez répondu oui, vous êtes en contact constant avec ces lignes de codes qui vous guident et influencent vos décisions. Vous allez constater que c’est à la fois très fascinant et un peu troublant à quel point nous sommes à la merci des algorithmes. Bon visionnement!
Votre site Web est en ligne et tout fonctionne bien : les ventes se concrétisent, les commentaires sont positifs et il n’y a pas d’erreur lorsque vous testez le site, par exemple avec le valideur W3C ou vos consoles de test. Tout va donc pour le mieux. Mais… Êtes-vous sûr que vous ne laissez pas d’argent sur la table sans le savoir?
Selon les secteurs, on considère qu’un bon un taux de conversion varie de 1% à 3% (vente en ligne). C’est donc dire que 97% des visites ne rapportent rien. Dans de tels cas, vous n’aurez pas nécessairement de commentaires négatifs, parce que le visiteur n’a pas de plainte à formuler; il n’est juste pas attiré. Vous ne pourrez pas non plus lui demander son avis dans un sondage par courriel, car vous n’avez pas ses coordonnées.
C’est ici que les outils de test A/B ou multivariables deviennent précieux.
Chaque visite est un test
Le concept est très simple : pour chaque visiteur sur une page Web on créé différentes variations. Par exemple, pour une page d’accueil, ce peut être une grande photo, peu de texte et un bouton rouge; pour l’autre une photo plus petite, 15 lignes de texte et un bouton vert, etc. Pour le visiteur, chaque page est unique, mais pour vous, cela permet de valider ce qui fonctionne bien ou moins bien auprès de votre audience, en fonction de vos objectifs.
Le piège ici est le volume critique pour être efficace. Si vous avez 100 000 visites chaque jour, ça ne sera pas un problème, mais à moins de 100 visites par jour, les tests risquent d’être longs à réaliser. Le principal piège lorsqu’on commence ce type d’expérimentation est de vouloir tester trop de variables en même temps. Testez peu, testez souvent, est la plupart du temps la meilleure recette.
Comment fonctionne un test de page Web?
Sur la page que l’on veut tester, on rajoute une ligne de code fournie par l’outil de test. Cette ligne doit se trouver au tout début pour que l’outil s’exécute avant le chargement de la page. Si vous voulez tester 3 couleurs de bouton « acheter » par exemple, il faut que ce soit la bonne variante qui s’affiche dès le départ. C’est donc l’outil qui pousse la variation de façon aléatoire pour chaque visiteur. La plupart des outils vont également installer un cookie; donc si le hasard vous a donné un bouton vert, vous resterez avec le vert tant que le test durera.
On rencontre 2 grandes catégories de tests A/B:
Les tests A/B de changement de page
Comme son nom l’indique, vous devez créer une page web (URL) différente pour chaque variation. Google Analytics experiments fonctionne de cette façon. Il dirige donc chaque visiteur sur une branche différente. Simple et efficace. Par contre si vous voulez tester 10, 20 ou 100 pages à la fois ça devient très lourd à gérer. Pour un blogue ou un site statique (un dentiste par exemple) où vous voudriez tester les pages de destination, c’est parfait. Par contre il est très limitatif et ne permet pas des tests complexes.
Détail important:Comme ces pages alternatives seront en ligne et visibles pour tous, y compris Google, vous pourriez avoir un problème de duplication de contenu. Il est donc important de les bloquer, par exemple avec la balise « NOINDEX » pour vous assurer que seule la page originale soit disponible.
Les tests A/B multivariations
Lorsque j’ai fait l’audit de plusieurs outils pour intégrer au site de Voyages à Rabais, j’ai pu voir les limitations lorsqu’on doit intégrer des variations sur des milliers de pages à la fois. Nous avons finalement opté pour Optimizely, qui permet de gérer très efficacement la façon d’appliquer les tests, entre autres avec l’injection de sélecteurs jQuery directement dans les variations. Merci d’ailleurs aux programmeurs de l’équipe qui subissent mes questions depuis ce temps! Leur fait d’armes le plus connu est d’avoir été utilisé pour une campagne de financement en ligne du président Obama. Il y a plusieurs autres outils comme Visual Web Optimizer, mais j’ai personnellement trouvé, au niveau d’un site très complexe, que l’outil choisi était le plus flexible pour la création, sans gêner le site comme tel.
Dans ce cas, plutôt que de charger une page différente, on modifie carrément le code HTML pour changer l’expérience utilisateur. On peut bien sûr changer les textes et l’image, mais également des éléments dynamiques : Nombre d’items affiché par page, position des éléments affichés, ordre des options, etc. Il n’y a que les limites du programmeur! L’outil dispose aussi d’un éditeur WYSIWYG pour les changements de base sans programmation.
Des objectifs précis pour ce qui est testé
La question essentielle est bien sûr de savoir quelle variation fonctionne le mieux. Il faut donc mettre en place des objectifs conséquents :
Achat en ligne
Formulaire d’inscription rempli
Page suivante visitée
Taux de rebond
Clic sur un élément précis de la page
etc.
La première étape pour faire un tel test est donc de savoir ce qu’on veut améliorer, non pas sur le site, mais comme objectif d’affaires.
Selon moi, du moment que vous avez trafic relativement important sur votre site, ce type d’outil est à considérer très sérieusement. L’un des problèmes que je vois régulièrement comme consultant est celui de « l’arbre qui cache la forêt ». On connaît tellement notre site sur le bout des doigts qu’on ne voit plus des gros irritant qui agacent l’internaute moyen qui vous visite une première fois. Les tests de site Web, c’est une équipe de milliers personne qui travaillent pour vous aider à leur offrir la meilleure expérience. Et ils vous paieront lorsque vous aurez réussi!
Je travaille de plus en plus sur des projets utilisant WordPress. Une des nouveautés avec la version 3 de cet outil principalement dédié aux blogues est la gestion des menus. Désormais, le gestionnaire des menus est un outil très puissant, pourvu que vous ayez un thème compatible (ce ne sont pas encore la majorité qui le sont). Bien que cette nouvelle fonctionnalité aie pour but principal de simplifier et d’optimiser la gestion des menus de votre blogue, il en résulte une multiplication des possibilité offerte par WordPress. Il est relativement facile maintenant de “déguiser” un blogue de nombreuses façon pour l’adapter à vos besoins particuliers.
Voici quelque exemples de ce qu’il est possible de faire:
Gérer un calendrier de vos événements
Regrouper vos différents publications par thème ou sujet
Parler de vos produits ou services par catégorie
Ajouter un menu de partenaires et de sites partenaires
Un lien contenant des informations de traçage et/ou d’affiliation
Comment rendre cela possible?
Tout d’abord, décidez quelle sera la page d’accueil de votre site. Eh non! Ce n’est nullement une obligation que ce soit vos derniers articles. Vous pouvez choisir ce que vous voulez.
Il faut vous assurer que votre thème permette l’utilisation des nouveaux menus. Pour ce faire, vous n’avez qu’à aller voir sous la rubrique apparence / menus, et de regarder en haut à gauche si les menus sont permis ou non
Il vous suffit ici de créer votre ou vos menus ( certains thèmes propose plus d’un menu, ou vous pouvez en ajouter un dans le widgets ) en y ajoutant ce que vous voulez, une page, une catégorie, même une URL extérieure ( vers un site partenaire par exemple). Notez que lorsque les sections sont ajoutées au menu au centre de la page, il vous suffit de les saisir avec votre souris pour les déplacer selon vos besoins. Vous pouvez aussi créer une hiérarchie et créer des sous-menus comme bon vous semble!. Si vous ajoutez une catégorie “évènements” par exemple, il vous suffira d’écrire un billet dans cette catégorie pour que le tout se retrouve en tête de liste de cette page.
Vous voyez à présent le potentiel de l’outil. Vous pouvez avec cette gestion des menus vous créer facilement une site qui aura fière allure, facile à mettre à jour et qui ne ressemblera nullement à un blogue.
Voici une nouvelle – ou plutôt une rumeur pour le moment – lue sur le site ReadWriteWeb. Selon ce billet, le code original de Google , à savoir Urchin (du nom de l’entreprise achetée par Google), sera désactivé d’ici la fin de l’année au profit du nouveau code GA. Or encore 40% des sites utilisent le code original.