Durant une journée de travail, probablement que si vous êtes comme moi, vous envoyez et recevez des dizaines de courriels. N’est-ce pas? Plusieurs connaissent également la Loi anti-pourriel (Loi C28) qui est entrée en vigueur le 1ier juillet 2014, mais est-ce que l’on prend tous les moyens nécessaires pour s’y conformer à 100%? Comment peut-on être certain que nos pratiques ne sont pas en conflit avec cette loi?
Des amendes salées…et qui peuvent vous viser personnellement
Une source d’information très pertinente traitant principalement du sujet de la Loi C28 est le blogue de l’entreprise québécoise Certimail. La semaine dernière, nous avons pu y lire qu’un torontois a eu droit à une amende de 15 000$ pour avoir envoyé 58 courriels non-conformes à la Loi. Ce qui est le plus surprenant dans cette histoire, c’est surtout le fait que c’est l’individu et non pas l’entreprise qui a été sanctionné. C’est une première et c’est important de le souligner.
Possibilité de désabonnement dans ma signature électronique… vraiment?
Si on prend le temps de scruter toutes les subtilités de la loi C28 (je sais, on a tous très peu le temps de le faire au complet), il faudrait démontrer dans notre signature électronique qu’il est possible de ne plus recevoir de courriel de notre part. Si vous gérez une infolettre, vous le faites sûrement déjà par défaut, mais dans vos courriels? C’est encore une fois ce que l’on peut lire dans le dernier billet de Certimail qui a pour titre: Amende d’1,1M$ d’AMAZON : avoir le consentement ne suffit pas D’ailleurs, c’est suite à la lecture de celui-ci que Bernard a décidé d’apporter des modifications à la nôtre en ajoutant plus de détails dans nos signatures électroniques chez Quoly. La voici:
Comme vous pouvez le constater, nous avons pris un maximum de précautions afin de donner un moyen de vous désabonner et ce, même si c’est une communication avec un de nos clients par exemple. Évidemment, c’est encore plus important si vous envoyez des courriels de sollicitation.
Si vous avez un modèle de signature électronique à proposer, je vous invite à le mettre en commentaire. Ce serait apprécié de voir votre formule à vous.
WordPress est un système très puissant pour mettre en place un blogue, ou même un site web plus classique. Bien que cette base soit très puissante, elle n’est pas complète… et c’est voulu ainsi. Le système mise plutôt sur un réseau d’extensions, ou plugins, afin de d’adapter votre site à tout les situations.
Voici donc 3 extensions que j’installe dans la très grande majorité des sites sous WordPress que je construit.
Le référencement ce n’est pas seulement que placer des mots-clés un peu partout. Plusieurs optimisations peuvent être faites ailleurs et ce module aide grandement à ce que ce soit bien fait et rapidement.
Cette extension donne accès à de nombreuses options, qu’un programmeur pourrait facilement mettre en place c’est vrai, mais qui placées dans cette interface permet de rapidement voir toutes les options auxquelles il faut penser. De plus, au bas de chaque article que vous écrivez, vous avez accès à quelques options qui vous permettent, entre autres, d’optimiser les titres de vos pages à afficher sur Google.
Analytics
Cette extension fait la même chose que la précédente, mais pour votre compte Google Analytics. Plusieurs options y sont intéressantes, par exemple éliminer de vos statistiques les visiteurs qui sont connectés comme administrateurs. Le fait de pouvoir mesurer facilement le téléchargement des documents est aussi très utile si tel est le cas sur votre site.
Askimet
Si votre blogue est le moindrement populaire, vous serez tôt ou tard aux prises avec des commentaires «pourriels» qui ne visent qu’à profiter de votre notoriété ou créer une maximum de liens peut importe leur valeur. Pour un blogue WordPress, Askimet est probablement le meilleur filtre qui existe. Gratuit si votre blogue n’est pas commercial, cet outil est très efficace pour vous éviter de devoir traiter cette masse inutile manuellement.
Ce sont là quelques outils qui rendent un blogue beaucoup plus facile à gérer et son rayonnement beaucoup plus intéressant. Ne reste qu’à rédiger des billets percutants!
Lors de cet enregistrement de ma petite webtélé le WebShow, je vous présente quelques outils que j’utilise dans le cadre de mon travail de référencement web. Bien sûr le tout accompagné de plusieurs exemples et de quelque trucs. Bonne écoute!
SEO Quake Un “plugin” contenant plein d’outils intéressant pour analyser ses pages et celles des compétiteurs web
Open site explorer Permet d’analyser l’autorité d’un site web et de voir facilement les liens qui donnent cette autorité. Très utile pour le “link building”
Webmaster tools L’outil d’analyse de votre site de Google, vous devez prouver que vous être propriétaire du site pour y avoir accès.
N’hésitez pas à me faire part dans les commentaires de l’outil qui vous intéresse le plus dans cet arsenal du référencement web. Je pourrai en faire un épisode complètement dédié!
Les meilleurs moments pour publier sur les médias sociaux sont le mercredi et le matin vers 9h30
La majorité des interactions surviennent dans les 2 minutes suivant une publication
Twitter, Facebook et LinkedIn sont sans surprise les 3 réseaux dominants
Que malgré tous les outils et boutons qui existent pour faciliter le partage, la majorité des gens utilisent toujours le “copier-coller” pour partager une adresse web.
C’est donc dire que les médias sociaux ont de plus en plus d’influence, mais que ceux-ci ne sont toujours pas utilisés de la façon la plus optimale par les utilisateurs finaux. Avec plus de 2 milliards de pages affichées chaque jour par ces nouveaux canaux, c’est une évidence qu’ils doivent être considérés par toute entreprise.
Malgré tous ces beaux chiffres, il ne faut pas oublier que dans un contexte d’affaires, toutes ces interactions doivent avoir un but clair pour la personne sollicitée. Un blogue qui mène vers le site principal ou avec une offre claire affichée est sans doute le meilleure exemple d’une utilisation efficace de cette circulation sociale.
Un titre de ce genre peut semble quelque peu bizarre dans un blogue destiné à la stratégie web, mais donnez-moi quelque ligne et vous y trouverez votre compte :) Il m’arrive, pas aussi souvent que je le voudrais, d’écouter les podcasts de Mitch joel, l’auteur du livre Six pixels de séparation (lien commandité) qui traite de nombreux sujets liés aux réseaux sociaux, mais aussi dans un plus large mesure de marketing et des gestion.
Dans son dernier podcast que je traduirait par «devenir accidentelement créatif», il recevait Todd Henry, qui publiera sous peu un livre sur le sujet. En résumé, M. Henry cherche à briser le mythe voulant que l’imagination ne vient pas sur demande ( il faut quand même quelque efforts!) et donne plusieurs pistes pour arriver à intégrer cet aspect, essentiel à plusieurs professions, dans le processus d’entreprise.
Cela revient par moment à dire que l’on se doit de créer sa chance, ou que si l’ont souhaite rencontrer ces gens intéressant, il ne fait pas rester dans son salon avec un gros chandail en cotton ouatté!
Si vous souhaitez vous faire une meilleure idée de ce lire, Todd Henry a mis le premier chapitre sur son site au format PDF.