Quoly.com fait maintenant partie de Solocom.ca
4 sources de prospects (1ère partie de "Êtes-vous rentable sur le web")

4 sources de prospects (1ère partie de "Êtes-vous rentable sur le web")

Vous avez un blogue, de nombreux comptes sur les réseaux sociaux, vous participez à toutes sortes d’activités web (camp, tweetup)? Vous très donc très actif sur le web, bravo! Mais êtes-vous rentable sur le sur web?

Euh… On fait comment pour le savoir?

C’est en gros à cette question que je vais vous aider à répondre au cours du mois de mars. Les 4 prochaines semaines seront donc consacrées à une série sur les différents aspects d’une présence rentable sur le web.

Cette semaine il sera question de référencement internet.

1- Les mots de «longue traîne»

 

Supposons que vous avez un commerce qui vend des outils à Trois-Rivières. Arriver en première position avec le mot “outils” risque d’être difficile, car énormément d’entreprises, de grossistes et de fabricants travaillent déjà à bien sortir sur ce même mot. On parle de niveau de compétition. À l’inverse, peu de personnes vont chercher le mot l’expression “outils pour le bois à Trois-Rivières”; Il sera donc beaucoup plus facile de bien se positionner pour ce terme. Le concept de longue traîne mis de l’avance pas l’éditeur du magazine Wired Chris Anderson, prend alors tout son sens.
Par contre, vous me direz que si on est précis au point que ce terme n’apporte que 2 visiteurs par an, ce n’est pas très intéressant. Vrai, c’est donc ici qu’une bonne analyse en référencement prend son importance. Il faut trouver le bon équilibre pour obtenir des résultats. Un terme trop précis n’est pas payant seul. Cependant, en écrivant à répétition sur plusieurs termes similaires, comme “couteaux à bois en Mauricie “, “outils de découpage pour le bois”, “ciseaux à bois de précision”, etc., vous en viendrez à avoir un éventail de mots reliés à votre domaine. C’est l’addition de ces mots-clés uniques, en plus de la récurrence de certains mots (les mots “outils” et “bois” dans cet exemple) qui finiront par vous donner plus de poids sur des termes plus génériques dans le temps.
Une extension Firefox comme SEO Quake devient très utile pour trouver rapidement les mots-clés identifiés sur vos pages, mais aussi sur celle de vos concurrents. Regarder la stratégie utilisée sur d’autres sites est un excellent point de départ pour créer une stratégie de mots-clés.

2- Les Hashtags sur Twitter

 

C’est une erreur courante, mais qui n’est pas une finalement. Lorsque l’on ouvre un compte sur Twitter, le premier réflexe est de suivre des qui nous ressemblent, donc des compétiteurs potentiels, plutôt que d’identifier d’abord les clients potentiels.
Par contre, ici aussi on peut s’en servir pour analyser ce qui se passe, entre autres en suivant les tendances liées à son secteur d’activité. L’utilisation d’un #hashtag est un moyen courant de cibler une thématique sur Twitter.

3- Les groupes LinkedIn

 

Des chambres de commerce 2.0 pour certains, les groupes LinkedIn sont en fait de communautés d’intérêts qui se regroupent par intérêts communs (comme le groupe Marketing d’attraction) ou par région (comme le groupe Linked Québec Mauricie).

Il vous suffira dès lors de discuter et de vous faire remarquer au sein de ce groupe. Mais attention, jaser pour jaser ne donne que peu de résultats. Vous devrez avoir une offre claire et bien définie sur votre profil afin de vous faire remarquer par des prospects qualifiés.

4- La veille constante

 

Pour connaître les tendances de votre marché, il est essentiel de suivre les tendances. Les mots clés que vous aurez identifiés aux points 1 et 2 de ce billet vous seront alors utiles. Vous pouvez en effet utiliser facilement les mots clés qui font de l’intérêt pour vous et rechercher toutes les nouvelles pages à ce sujet. Un outil gratuit comme les alertes Google permet d’y arriver facilement, soit en vous envoyant un courriel, soit en créant un fil RSS que vous pouvez insérer dans vos listes de lecture. Il y a aussi des outils comme Infoglutton qui permettent d’analyser le web et les réseaux sociaux plus en profondeur.

Voilà donc de nombreuses pistes pour vous aider à cibler de nombreux prospects de qualité, peu importe votre domaine d’activité. Lors du prochain billet, il sera question de la façon d’interagir avec les futurs clients que vous venez de découvrir.

La fausse fulgurante hausse de Pinterest

La fausse fulgurante hausse de Pinterest

 

Depuis quelques semaines, plusieurs blogues (par exemple TechCrunch) font état de la hausse fulgurante du réseau social d’images Pinterest. Ce nouveau site a grimpé plus que les Facebook Twitter et Google+ de ce monde,  tant au niveau du nombre d’abonnés que par l’achalandage.

Pourquoi alors parler de “fausse hausse”? Tout simplement parce que je considère que Pinterest grandi en majeure partie grâce à Facebook et Twitter, qui sont bien intégrés au site, en particulier pour les systèmes de connexion OAuth. La publicitié se donc en majeure partie grâce au trafic qui est déjà généré sur ces sites bien établis. Pour utiliser une image, c’est beaucoup plus rapide grimper au troisième étage d’une maison lorsque l’on utilise les escaliers qui ont été construits par d’autres.

Ceci étant dit, est-ce intéressant? Oui, c’est simple rapide et ça fait le travail d’un point de vue ergonomique. Il manque encore quelques fonctions, comme le fait de ne pouvoir se connecter qu’en tant que personne via Facebook et non en tant que page administrée, mais ce genre d’ajouts ne sauraient tarder. Est-ce que ça va durer? Probablement, l’effet viral de partager des photos est très efficace sur le web. Est-ce que ce sera rentable à long terme? Pas sûr… le modèle d’affaires semble encore à définir. Les conditions liées aux images partagées ont déjà fait reculer certains sites pour qui les droits d’auteurs sont importants. De plus, comme Michelle Blanc le mentionne sur son blogue, Pinterest récupère les photos sur les sites d’origine plutôt que les placer sur ses propres serveurs; le risque de voir dans un an une bonne partie des images devenues inaccessibles me semble un important.

Bref, je vais garder ce nouveau réseau social dans ma ligne de mire, mais tout en gardant un oeil suspect sur mes outils d’analytique web, tant pour le trafic généré que pour l’engagement de ces mêmes visiteurs une fois sur ces sites.

Mise à jour du 29 février: Je vois depuis hier plusieurs personnes écrire qu’elles  bloquent maintenant les diffusions de Pinterest, car celles-ci deviennent trop invasives par rapport aux autres communications, pour la valeur apportée. Pas besoin de voir 500 chats dans une journée!

Malgré tout pour le moment, les chiffres sont quand même intéressants, comme dans cette infographie de Mashable:

P.S. Si vous avez besoin d’une invitation pour y accéder, vous pouvez me contacter!

 

Marketing web d'attraction en 5 étapes – Le Web Show 2.8

 

Voici le nouvel épisode du Web Show sur le plan marketing d’attraction en 5 étapes que j’ai enregistré hier. Ce fût de loin la session la plus animée avec près de 10 participants en direct dans la salle de clavardage, merci beaucoup à vous tous!

Cette fois j’y présente une méthode de travail basée sur le marketing d’attraction (Inbound Marketing) qui peut devenir très utile pour de nombreuses PME et les travailleurs autonomes. Bref, pour toute organisation où les ressources disponibles pour la gestion d’une présence web efficace représente moins de 10 heures par semaine.

Watch live streaming video from pourlespme at livestream.com

Plusieurs aspects ont été abordés:

  • Identité web
  • référencement et optimisation
  • utilisation d’un blogue et des réseaux sociaux
  • génération de prospect et liste de rappel
  • conversion d’un visiteur en client
  • analytique web
  • gestion de la clientèle

Ce type de plan vous intéresse?  Vous n’avez qu’à me contacter  pour en savoir davantage et voir comment une telle méthode de travail peut s’adapter à votre entreprise.

Voici également la présentation utilisée:

Le web show Plan marketing web d’attraction

View more presentations from pourlespme.

 

Des followers, ou des Faux-lowers?

Des followers, ou des Faux-lowers?

La valeur de votre audience sur Twitter

Twitter est un outil terriblement utile pour communiquer, faire de la veille et suivre des personnes / entreprises d’intérêts. Lorsque l’on désire passer un message, qu’il soit personnel, commercial ou politique, la première condition pour être le moindrement efficace est d’avoir une audience qui sera à l’écoute.

Or, avoir plus de 1000 followers sur Twitter ne signifie pas avoir une grande audience. En effet il y a plusieurs «faux-lowers» qui ne sont pas dans votre liste parce que vous êtes intéressant et pertinents:

  • Ceux qui ne veulent qu’avoir des gros chiffres: Ils suivent tout ce qui bouge, mais retirent tout ceux qui ne donnent pas la réciproque après quelques jours. Ces derniers n’interagissent jamais
  • Ceux qui vous suivent suite au retweet d’un contact commun.
  • Ceux qui ne vous suivent qu’en raison d’un tweet evec un #hashtag qu’il ont un jour remarqué
  • Les compétiteurs, qui vous suivent pour surveiller vos activités (avouez que vous le faites vous aussi!)
Dans la vaste majorité du temps, ces derniers n’apporteront pas beaucoup de valeur, ni un gros taux de conversion. Une des erreurs les plus fréquentes est de suivre des gens qui nous ressemblent trop.
En contrepartie, il y a aussi des «vrai-lowers» pourrait-on dire, qui eux au contraire vous apportent de la valeur et de la visibilité:
  • Ceux qui interagissent avec vous sur une base régulière
  • Ceux qui même sans interaction directe, passent vos messages en vous re-tweetant sur un base régulière.
  • Ceux qui vous citent comme référence dans un domaine précis
En identifiant le type d’auditoire que vous avez, vous serez en mesure d’ajuster votre discours et vos messages en fonction des interactions les plus rentables. Cela vous aidera aussi à identifier des niches et regarder dans cette direction afin d’inciter les “bons” followers à vous suivre et à interagir avec vous!
Les nouveaux moyens de contact

Les nouveaux moyens de contact

À quand remonte votre dernier envoi de télécopie (fax)?

Selon le domaine où vous évoluez, il se peut que vous deviez encore utiliser cette méthode. Mais avouons-le, cela fait davantage partie du passé que du futur. Cependant, il importe de connaître les implications des différents «nouveaux» moyens de communications, surtout dans une PME qui souhaite recevoir des contrats et des prospects

Le courriel

Malgré toutes ces nouvelles plateformes, le courriel demeure l’outil le plus utilisé en entreprise. Il y a tout de même plusieurs règles à respecter, surtout dans un cadre officiel. Par exemple, toujours inscrire clairement le sujet du message. Plusieurs, plusieurs personnes ne vont souvent que survoler la tonne de courriel à lire en se disant «celui-là je le lirai tantôt». Lorsque tantôt arrivera, il y aura que le sujet inscrit pour vous faire remarquer une deuxième fois. Ce doit donc être clair, frappant et facile a retenir. La signature est aussi un élément important car vous pouvez y placer facilement vos différent sites web et signaux sociaux.

Les formulaires de contact

Un formulaire de contact à tout site web commercial, en particulier si vous êtes travailleur autonome, car ce sera souvent le seul moyen présent sur votre site. Les erreurs les plus communes sont d’en demander trop… ou pas assez!

Trop, parce que souvent les formulaires contiennent des nombreux champs «obligatoires» qui souvent n’apportent aucune plus-value pour un premier contact. C’est souvent un bonne idée de suggérer à votre prospect de vous donner des informations comme la taille de l’entreprise, le partenariat envisager et autres. Cependant, tout ce qui n’est pas essentiel à la première prise de contact devrais demeurer falcultatif.

…Pas assez! Le contraire est tout aussi vrai. Ne placer que les 3 cases nom, courriel et message laisse souvent votre prospect dans le doute. Vous avez là un opportunité des lui poser des questions, surtout s’il s’agit d’un service spécialisé. Une ou deux questions peuvent vous permettre d’être beaucoup préparé ensuite lors de la première conversation. Mais encore une fois, laissez leur le choix de les remplir, ou non.

Via les réseaux sociaux

De nombreux entrepreneurs utilisent maintenant les réseaux pour promouvoir leurs produits et services. Bien que les premières discussions puisse facilement avoir lieux sur ces plateformes, dès que ça devient le moindrement sérieux, vous vous devez de proposer d’autres alternatives comme un courriel ou diriger vers un formulaire de votre site. Il importe aussi de porter attention à la ligne où une conversation devrait devenir privée.

Applications en temps réel

De plus en plus, il existe des outils très peu de frais qui peuvent s’installer sur votre site web pour permettre une interaction directe avec vos visiteur. Clavardage, partage d’écrans à distance et les systèmes de billet où la communauté inscrite au service a accès sont quelque exemple d’applications. Pour les petites entreprises, il peut parfois être coûteux de maintenir un présence lorsque le servie n’est pas utiliser. La présentation doit faire en sorte de présenter les attentes réelles auxquelles votre visiteur est en droit de s’attendre.

Vidéoconférence

Je suis personnellement surpris de voir l’engouement suscité par des applications comme FaceTime, alors que la vidéo conférence demeure relativement peu utilisé à grande échelle. Pourtant, des outils très répandue comme Skype ou MSN messenger rendent cette utilisation très facile. Peut-être que Google +, qui permet gratuitement la vidéoconférence à plusieurs, changera un peu la donne. Bien sûr, se présenter à l’écran dans un contexte d’affaires demande quelques efforts. L’environnement visible, la qualité de son et présence de distractions autant visuelles que sonores peuvent rapidement faire diminuer votre crédibilité. Bien que facilement accessible, il faut tout de même utiliser cet outil avec précaution.

Il faut souvent qu’un peu d’imagination, un peu d’huile de coude et du gros bon sens pour se démarquer des autres. Si vous sauver être à la fois original et professionnel dans vos présences web, vos prospects croiront -avec raison- que vous pourrez en autant tout autant pour eux!

L'importance de convertir vos visiteurs

À l’heure des médias sociaux, simplement y faire du bruit N’est pas suffisant pour réussir à y faire de bonnes affaires. L’une des erreurs les plus communes est de croire qu’il suffit de faire passer vos prospects du réseaux à la page d’accueil de votre site pour que la magie opère. Hélas, si vous vous êtes reconnus, j’ai le regret de devoir vous inscrire dans la catégories des «penseurs magiques»!

Voici donc 5 petits conseils pour vous aider à faire en sorte que vous efforts sur les réseaux sociaux donnent des résultats concrets.

1- N’essayez pas de parler à tout le monde en même temps

Le concept de persona est important aussi sur les réseaux sociaux. Bien que vous avez plusieurs types d’amis / prospects dans vos listes, lorsque vous vous adressez à eux dans un but de conversion, ciblez une personne, ou un groupe ayant des intérêt communs; ensuite dites-vous que ce n’est qu’à eux que vous parlez. Si vous réussissez une conversion par publication, ce sera très bien! Cela est particulièrement vrai pour les blogues. Chaque billet ne devrait s’adresser qu’à un persona à la fois.

2- Trouvez quelle sera la meilleure page pour ce que vous avez dit

Votre message à fait mouche et vous m’avez fait cliqué sur votre lien? Excellent! Ceci dit, tout ce que vous avez réussi, c’est à me faire passer la porte de votre entreprise sur le web. Est-ce que la page ou je suis répond à ce qui était annoncé? Est-ce que je trouve rapidement cette information? Est-ce que j’y trouve assez de nouvelles données pour satisfaire la curiosité créée par le message original?
Si Vous n’avez pas 3 fois oui comme réponse, quelque chose cloche. La solution peut parfois se trouver dans l’amélioration de la page, mais parfois aussi dans la création d’un page de destination -ou «landing page» qui serait dédié à une clientèle précise. Celle-ci n’a pas besoin d’apparaître dans vos menus, mais doit faire du sens selon la provenance de vos visiteurs.

3-Votre attente envers le visiteur doit être claire

Selon ce que vous faites, il peut s’agir de plusieurs chose: achat en ligne, demander un soumission, s’abonner à l’infolettre, etc. Encore une fois, ne surchargez pas les attentes. Il ne devrait pas avoir plus d’un «appel à l’action» par page.

4-Il vous faut mesurer à quel point vous êtes efficace

Bien sûr, vous avez déjà un outil analytique dans votre site (si non, vous devez rapidement contacter un professionnel!). Comme vous savez sur quelle page vos visiteurs sont arrivés, vous pourrez utiliser cette url comme page d’entrée pour mesurer sont efficacité. Voilà une autre raison pour ne pas les diriger vers la page d’accueil.

5-En comparant, vous trouverez votre mode de conversion

Dans ce genre d’analyse, les données absolues sont rarement très utiles. Ce qu’il l’est en revanche, c’est de pouvoir comparer plusieurs essais. Ici, les possibilités me manquent pas: heure de la journée, date, long texte ou petite description, grande photo ou aucune, composer plusieurs types de messages pour la même page de destination…. et plus encore.

C’est ici que la structure mise en place devient payante. En effet, vous n’apprendrez pas seulement ce qui fonctionne le mieux pour vous, mais aussi qui s’intéresse à vous, ce qui les fait pencher vers votre offre, ce qu’il ont envie de trouver sur votre site. C’est n’est plus seulement un analyse de vos messages que vous aurez en main, mais une véritable petite étude marketing de vos réseaux sociaux.

Bonnes conversions!