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Facebook détrône Airbnb comme meilleur employeur techno

Facebook détrône Airbnb comme meilleur employeur techno

Pour une neuvième année consécutive, le site d’emplois Glassdoor dévoile ses annual Employees’ Choice Awards.

C’est une liste de 50 entreprises qui méritent la qualité d’employeur de choix et ce, suite à un sondage en ligne auprès des utilisateurs de Glassdoor. Facebook n’en est pas à sa première place dans ce classement au niveau des employeurs technologiques. En effet, il a remporté la palme en 2011 et en 2013, occupant la cinquième place l’an dernier.

La liste des employeurs technos de choix aux États-Unis en 2017

2- Facebook 
4- Google 
5- World Wide Technology 
6- Fast Enterprises 
8- LinkedIn 
9- Adobe 
14- Paylocity 
15- SAP 
16- MathWorks 
17- Salesforce 
20- Intuit 
23- Docusign 
24- Concur 
25- Akamai 
29- Zillow
30- NVIDIA 
35- Airbnb 
36- Apple 
37- Microsoft 
42- Texas Instruments

Et au Canada?

Au Canada, l’entreprise qui mérite le titre de l’employeur de choix est la plateforme de commerce électronique ontarienne Shopify. D’ailleurs, son chiffre d’affaires double pratiquement à chaque année, ce qui est très bon signe il faut l’avouer. Voici le top 10 du palmarès général de Glassdoor au Canada:

1- Shopify
2- Ceridian
3 -ATB Financial
4- Salesforce
5- Cisco Systems
6- Apple
7- Fairmont Hotels & Resorts
8- PCL Construction
9- Sephora
10- SAP

SourcesGlassdoor: Facebook dethrones Airbnb as the best tech company to work for in the U.S. / SHOP Stock: Why Shopify Inc Could Skyrocket in 2017

À lire aussiSEO: comment les petites entreprises peuvent combattre les grandes?

Test de publication Facebook (et vidéo)

Test de publication Facebook (et vidéo)

Il est important d'ajuster la confidentialité selon ce qu'on souhaite sur Facebook

La question de la confidentialité sur les réseaux sociaux refait souvent surface dans les discussions. Malgré tout ce qu’on peut dire, penser ou débattre sur ces questions, il reste cependant un point crucial selon moi: Dans l’IMMENSE majorité des cas, les informations ou images ont à l’origine étés publiées de façon libre et consentante.

L’usage futur ne réflète pas toujours ce fait; c’est don pourquoi il faut y songer dès que l’on publie quoi que ce soit sur le web. C’est pourquoi Je vous propose un petit questionnaire. Si vous répondez oui à toutes ces questions, il y a alors peu de risque à publier. Dans le cas contraire, à vous d’évaluer les risques, et d’agir en conséquence.

Donc, avant de publier sur Facebook, ou tout autres réseau social:

Posez-vous les questions suivantes:

  • Est-ce que je voudrais que mes parents voient ça?
  • Est-ce que je voudrais que mes enfants voient ça (même s’ils n’ont que 2 ans, quand ils auront l’âge, vous compterez parmi les premiers profils visités) ?
  • Est-ce mon patron peut voir ça?
  • Est-ce mes employés peuvent voir ça?
  • Est-ce que ça me dérangera dans 10 ans d’en entendre à nouveau parler (“Hey te souviens-tu quand tu as eu un lendemain de brosse à côté de la toilette? Ben oui je viens de revoir la photo par hasard, ahahahah!!”)?
  • S’il y a d’autres personnes d’identifiées, avez-vous leur consentement ou pensez-vous qu’elle seront d’accord pour être identifiées avec vous?
  • Dans le doute, vous pouvez juste repasser les questions précédentes pour valider.

Même si vous répondez oui à toutes ces questions, ça ne veut pas dire que vous voulez que vos images et vos noms circulent partout. Bien que ces paramètres soient souvent laissés par défaut, il ne suffit que de quelques minutes pour ajuster les paramètres dans Facebook selon ce que vous souhaitez. Voici un petit vidéo sur la question:

À votre tour! Quels-sont vos trucs pour vous assurez que ce que vous publiez sur les réseaux sociaux demeurent dans les limites de ce que vous souhaitez?
 

Google+, la nouvelle étoile des réseaux sociaux. Vraiment?

Google+, la nouvelle étoile des réseaux sociaux. Vraiment?

 

Pour les PME sur Google+

Depuis quelques semaines, le nouveau réseau social Google + s’est ouvert au public. Et depuis quelques jours, je vois de plus en plus de messages un peu partout y allant de prédictions et de paris sur qui remportera la «guerre sociale» sur le web. Alors aussi bien y aller à mon tour! Mais vous risquez d’être quelque peu déçu!

1. Ceux qui savent déjà n’on aucune idée de quoi ils parlent

Il y a quelques mois j’ai écrit un billet sur la courbe d’adoption des technologies. Si on suit la logique de ce graphique, il es facile de constater que Google+ se trouve présentement en haut du premier pic, soit l’enthousiasme maximum. D’ici quelques semaines, tout ceci s’essoufflera; c’est de la façon dont le réseau se soulèvera la deuxième fois (dernière partie de la courbe), que l’on saura si l’adoption sera générale.

2. Ce n’est pas Facebook qui fait la popularité de Facebook

De quossé? Cette phrase peut sembler contradictoire je sais! Mais de façon objective, pourquoi passez-vous plus de temps sur facebook que sur Google, seulement pour attendre de voir ce que les autres ont a dire et leur répondre? Twitter le fait déjà très bien merci. Par contre, pour les amateurs de jeux et les fans de marques ou de groupes, Facebook compte de très nombreuses applications et des page dédiées aux PME ou à des sites web qui veulent s’y créer des communautés d’intérêt. Tout ceci s’articule autour d’une API solide et ouverte qui permet a quiconque de personnaliser l’utilisation et le visage qu’il souhaite donner à sa présence. Or pour le moment, cette API n’est pas ou peu diffusé pour Google+. Il faudra donc voir comment les développeurs l’utiliseront et ce qui sera offert dans les prochains mois pour en connaître le véritable potentiel.

3. Vous avez combien de tantes dans vos cercles?

Pour le moment, ce sont surtout utilisateurs hâtifs, ou «early adopters» qui sont présents, malgré qu’on commence y voir des gens qui ne sont pas geeks, mais tout de même de grands utilisateur d’internet. Dans les fais, le grand public n’y est pas encore. Vous serez plusieurs à me répondre, avec raison, que la vitesse pour acquérir x millions de membres fût beaucoup plus rapide que pour Facebook ou Twitter. Il y a cependant un différence majeure: Nous savons tous ce que sont les réseaux sociaux et les interactions que nous pouvons y faire. Il est donc beaucoup plus facile de s’y faire une place que lorsque qu’on se doit en plus de créer la demande pour un nouveau type de service. Et lorsque qu’on regarde la force de frappe de Google pour diffuser un message… ce n’est plus si impressionnant.

 

Mes deux cents..

Ce que j’en pense vraiment? Il y a un potentiel certain. Mais compte tenu de tout ce que je viens d’écrire, Je ne peux vraiment pas dire si dans un an, nous en parlerons comme le nouveau Facebook, ou le nouveau Wave.