Quoly.com fait maintenant partie de Solocom.ca

Quoi surveiller pour un référencement (SEO) efficace en 2011

 

Ce n’est un secret pour personne que Google ne dévoile pas ses secrets. Pourtant, pour optimiser un site web efficacement, Il faut savoir comment les changements que nous apportons seront perçus, car cela aura un impact sur les résultats. Bien sûr, les conseils principaux demeurent:

  • Avoir du contenu unique et de qualité
  • Éviter les dédoublement (si vous pouvez afficher votre site avec et sans les www, c’est comme avoir 2 sites jumeaux aux yeux de Google)
  • Connaître ses mots-clés et tabler dessus
  • Utiliser ces mots dans plusieurs éléments: adresse, titre, images, etc.
  • Éviter les techniques proscrites, comme placer du contenu invisible aux visiteurs.

Savoir ce qui influence son référencement

Ceci dit, Google prend en compte environ 600 paramètres différents pour classer les milliards de pages indexées, et mets à jour régulièrement son système, Pour une PME ou un travailleur autonome, il devient donc très difficile de suivre cette évolution.
Heureusement, certaines entreprises comme SEOMoz font des enquêtes et rendent parfois des données publiques à ce sujets. Il s’agit en fait des résultats d’un sondage mené auprès d’entreprises reconnues dans le milieu, dont NVI au Québec, afin d’en connaître un peu plus long sur ce qui influence en 2011.

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On y apprend en autres que:

  • Un site qui est mal optimisé au départ dans ses page et l’ensemble du domaine sera toujours en difficulté (pas de surprise)
  • Les médias sociaux ont un poids bien réel dans les résultats, mais pas tant que ça
  • Il faut des liens entrants, mais la qualité des sites référents et leur diversité valent plus que le total absolu
Cette étude montre un bon aperçu de ce que vous devrez prendre en compte pour être bien référencé. Avec une bonne évaluation de l’état de votre site, des correctifs souvent pas si compliqués à implanter et une stratégie, même avec des moyens très limitées mais appliquée de façon constante, un petit site saura faire une marque appréciable dans son marché de niche.
Internet et élections?

Internet et élections?

La campagne électorale est maintenant lancée. Croyez-vous qu’il est possible que certains partis et/ou politiciens tentent d’utiliser le web et les médias sociaux pour promouvoir leur candidature durant cet élection? Je sais, si le sarcasme tuait, mon billet serait terminé!

Plus sérieusement, l’espace virtuel sera à coup sûr au centre de nombreux débats, avis, discussions… et sûrement quelques mescineries . Il importe donc pour un candidat et son entourage de savoir ce qui s’y passe et de savoir comment répondre. Il y a quelques années j’avais fait un tableau sur les façons d’agir et de réagir sur le web dans un contexte d’élection. J’en ai donc fait une mise à jour que voici:

Comment bien rendre son message sur le web lors d'une élection

Vous avez le document au format PDF ici: Agir sur le web en élection

Comme vous le voyez, une stratégie complète comporte plusieurs facettes. Ce tableau tente de résumer en une page la vue d’ensemble d’une stratégie lors d’une campagne – ou de n’importe quelle promotion- en plus d’un schéma des réactions à adopter.

Évidemment chaque cas est différent et demande réflexion. Vous pouvez me contacter si vous voulez en apprendre plus sur les façons de mettre au point une stratégie efficace!

Le prix du gratuit sur le web

Le prix du gratuit sur le web

Le livre "Free" de chris Anderson, qui explique pourquoi les contenus seront de plus en plus gratuits sur le web. Le web regorge d’outils et d’applications gratuites. Pourtant, si vous êtes comme moi, vous n’aimez pas travailler pour rien. Il faut donc parfois creuser un peu pour découvrir les motivations, ou plutôt les différents modèles d’affaires qui soutiennent ces gratuités.  Parfois, cela peut s’avérer très utile et inspirant, mais parfois aussi il faut regarder sous le capot ou bien lire les conditions d’utilisation pour se rendre compte de la vraie valeur de ce “cadeau”.

Il y a quelques années, Chris Anderson du magazine Wired à publié le livre “free”, ou il explique que le prix pratiquement dérisoire du stockage et de la bande passante (lorsque l’on calcule le coût par unité ou par visite) fait en sorte que dans certains cas, même si cela ne se résume qu’à 1 vente par 10 000 “cadeaux offerts”, l’opération demeure tout de même rentable. Il va s’en dire que ce n’est pas-là un modèle unique; il existe aujourd’hui sur le web de nombreuses variantes.

Le modèle code ouvert ou “open source”

Plus blanc que blanc pourrait-on dire. Lorsqu’un programme est offert sous licence GPL, vous pouvez en faire presque tout ce que vous voulez. Quel est l’utilité d’une telle pratique? La force du groupe.

Souvent, ces outils ont démarré par le fruit d’un ou de quelques programmeurs. Au moment de tester, comme leurs ressources sont très limitées, trouver les problèmes – et leurs solutions – est souvent un processus long et ardu. Offrir tout son travail ainsi élimine certes la possibilité de le vendre, mais si une communauté solide se forge autour du projet, les possibilités de développement sont alors exponentielles. Un des exemples les plus connus est sans doute la plate-forme de blogue WordPress. Le coeur de l’application est développé par une communauté qui l’améliore jour après jour, mais des dizaines d’autres entreprises autour développent aussi des ajouts – ou plugins – de même que des thèmes graphiques pouvant se greffer à l’application initiale. Quant au créateur Matt Wullenberg, Il offre des services de consultation à certaines entreprises de même que certains services payants via le site wordpress.com.

Le modèle “Freemium”

Le modèle freemium est de plus en plus utilisé par les entreprises, surtout à l’ère des médias sociaux. Il s’agit le plus souvent d’un logiciel ou d’un service web pour lequel il existe une version de base gratuite, avec différents niveaux de services payants pouvant y être ajoutés par la suite. Dans la plupart des modèles récents, il n’y a pas de limite de temps à l’utilisation de la version gratuite.

Le principe, c’est que l’utilisateur va s’habituer et devenir de plus en plus à l’aise avec l’outil. Lorsque ses besoins grandiront, il sera alors tout naturel de migrer vers cette version payante. L’absence de temps limite (essai gratuit de 30 jours par exemple) est sécurisant selon moi, car cela permet d’essayer l’outil en fonction de ses besoin actuel, sans devoir acheter une version trop lourde pour le moment.

L’aspect donc il faut faire attention, c’est parfois les changements de terme au contrat. Un exemple récent est celui de DimDim, qui a été racheté par Salesforce, et dont le service s’est arrêté abruptement.

La licence Creative Commons

Dans le cas des licences Creative Commons, l’intérêt est de se faire connaître. Surtout dédié aux documents et oeuvres de toutes sortes, cette licence permet la diffusion gratuite, parfois à des fins commerciales, en autant que l’auteur original demeure cité. Pour la plupart des blogues, le contenu est diffusé sous cette licence.

Si vous n’avez aucune politique d’utilisation de vos contenus, il serait sans doute sage d’y jeter un oeil!

Il existe bien sûr de nombreuses variantes, mais le principe est toujours le même: Tenter à terme, d’obtenir plus que ce que l’on a donné au départ. N’est –ce pas la règle de base de toute entreprise?

Je suis un généraliste du web

Je suis un généraliste du web

generaliste webDe plus en plus sur le web, je vois des gens “s’autoproclamer” spécialiste des médias sociaux, ou expert de ci ou de ça. Il y aussi de nombreux termes plus ou moins obscurs tels que “Gestionnaire de communauté”,“coach”ou même ‘”chef d’orchestre”. Le problème, c’est qu’il n’y a aucun titre officiel, et aucune liste de compétences requises pour utiliser un terme ou l’autre. Il y a bien des billets écrits, en plusieurs endroits, qui donnent leur définition (dont celui-ci à partir de maintenant!), mais rien à ce jour qui ne fasse l’unanimité. Des formations s’organisent de plus en plus, mais là aussi il n’y a rien qui fasse consensus quant à l’appellation des diplômés.

Pour ma part, j’utilise le terme “Stratège web” pour me définir. Ce n’est pas le terme idéal, mais c’est quand même ce qui se rapproche le plus dans le terme connus. Sinon, je me suis parfois défini comme un “généraliste du web” en faisait un parallèle avec la médecine. En effet, je crois que sur le web, avant de recourir à un véritable spécialiste, il faut d’abord une tournée complète du jardin, définir ses besoins ses attentes et ses ressources. Par la suite il sera facile d’identifier les spécialistes qui seront utiles. Comme pour de nombreux domaines, le web est beaucoup trop vaste pour qu’une seule personne puisse être spécialiste de tout. Ou plutôt, être spécialiste ET efficace dans tout.

Pourquoi je vous parle de ça ce matin? Tout d’abord pour vous en dire un peu plus sur moi, mais aussi pour vous donner des pistes afin de regarder derrière le joli titre pour savoir vraiment ce qui s’y cache. Voici quelques questions que vous pourriez avoir le réflexe de poser lorsque vous voulez embaucher quelqu’un: J’en profite aussi pour vous donner mes réponses!

  • Quels sont les outils / sites / logiciels que vous utilisez régulièrement?

  • Pour ma part je crois énormément à la puissance des systèmes de gestion de contenu, ou CMS pour créer des sites web selon différents besoins. Je travaille régulièrement avec WordPress, Joomla! et DotNetNuke. Twitter et les pages Facebook sont aussi des outils puissants pour se faire connaître et développer une communauté. Peu importe la stratégie, il faut garder des outils de mesure pour évaluer ce qu’on fait. Pas seulement Google Analytics, mais aussi des outils comme bit.ly, AddThis et grader.com sont des outils très utiles pour mesurer différents aspects de sa stratégie web.
  • Quels sont les projets que vous pouvez montrer pour prouver votre expertise?

  • Il y a bien sûr mon site web, Webotheque.com, qui bien qu’il ne soit pas complètement terminé, propose de nombreuses ressources, comme Le WebShow qui est une petite webtélé que je fais, ontheglobe.com est un site où j’ai eu le mandat de migrer complètement d’un site HTML statique (plus de 100 pages) vers la plateforme WordPress, avec de nombreuses nouvelles fonctions, tout en conservant le PageRank acquis depuis 10 ans. Dernièrement, je m’occupe aussi du développement du site SectionVIP.com, qui est un site d’achats groupé, avec un ambitieux plan de développement de nouvelles fonctions au cours de la prochaine année.
  • Pouvez-vous définir votre offre de service en 1 minute?

Bernard Prince 01

  • Je me définis comme un généraliste du web. C’est à dire que je vous aide à évaluer l’ensemble de vos présences sur le web, les attentes que vous avez et les façons de mesurer ces attentes. Par la suite, selon vos ressources en argent et en temps, nous serons en mesure de développer une stratégie globale, définir quels spécialistes vous seraient utiles et une planification d’évaluation du retour sur l’investissement (RSI). Je crois sincèrement qu’il s’agit d’une façon efficace de développer une présence efficace sur le web.
  • Quelle est votre vision du web dans 2 ans?

  • La mobilité est à coup sûr une tendance lourde, mais pas nécessairement pour tous les aspects. Pour tous ce qui est localisation, achats rapides ( spectacle, restaurant…) et services de proximité comme les opérations bancaires, la démocratisation des téléphones intelligents vers un public de plus en plus large fera en sorte que ces applications deviendront très rentables. Cependant, pour tout ce qui se fait avec réflexion, comme l’achat d’une maison ou d’un véhicule, l’embauche d’une personne ou d’un consultant, ou finalement tout ce qui se fait sur le web en plus de 5 minutes, les ordinateurs demeureront la porte d’entrée principale. C’est donc dire que les applications web telles qu’on les voient on encore leurs places pour plusieurs années. Il faudra cependant faire attention à être visible correctement sur les iPAd et autres tablettes, car ces outils seront de plus en plus utilisés, en particulier pour les B2C, car ces petits appareils s’apportent facilement dans le salon ou la chambre.

Ce sont là mes réponses à quelques questions bien générales. Cependant c’est je crois déjà suffisant pour vous faire une idée de qui je suis, ce que je pense du web et ce que je peux vous offrir. Une personne qui ne saurait pas quoi répondre à ces questions, où qui au contraire ferait des réponses sans fin et sans fil conducteur, n’est peut-être pas encore prête à vous offrir ce que vous recherchez..

Darwin et le web

Darwin et le web

L'évolution avance sans arrêt pour s'adapter aux situations de chaque époque Dernièrement j’ai lu dans le journal Les affaires un article sur l’après-crise vue par les PDG des grandes entreprises américaines. L’auteure Diane Bérard y parle avec justesse d’effet darwinien car plus que jamais, il n’y a que les plus fort qui pourront survivent. Dans ce cas-ci, les plus forts sont les employés et cadres les plus performants, ceux qui livrent rapidement des résultats et surtout, ceux qui ne s’enlourdissent pas de bois mort pour se ralentir, même s’il s’agit de quelqu’un qui vous est fidèle depuis 10 ans. C’est dur, oui. Mais c’est ainsi que fonctionnent les sélections selon Darwin.

En lisant cet article, je n’ai pu m’empêcher de faire un parallèle avec les millions de sites web que l’on peut visiter aujourd’hui. Est-ce que ces mêmes règles s’y appliquent aussi?

  • Seuls les plus forts et les mieux adaptés survivent.

    C’est la règle de base. Peu importe les efforts et l’énergie que vous mettez dans votre site et vos présences web, si vous n’êtes pas adapté au milieu dans les lequel vous évoluez, vous survivrez aussi bien qu’un ours polaire en Afrique.

  • L’évolution est constante.

    Qui d’entre vous utilise toujours son avatar sur Second Life (soyez honnête) ? Ce qui est adapté et prometteur aujourd’hui ne le sera peut-être pas dans 5 ans. Si vous regardez un iceberg à bord du Titanic, mais que vous naviguez comme sur un voilier, celui-ci vous frappera.

  • Des sous-espèces apparaissent pour mieux s’adapter à des situations particulières.

    Les migrations, les changements de conditions et de technologie (comme la découverte du feu) font en sorte que des espèces soumises à des conditions particulières évoluent de façon différente. Un site web bien adapté en France ne sera pas nécessairement un succès au Québec.

Il y a un adage qui dit que le passé est garant de l’avenir. Bien que les théories de Darwin soient apparues un siècle avant l’informatique, force est de constater que ces principes peuvent s’appliquer de façon presque linéaire à la jungle du web.

12 moyens de faire de l'argent sur le web

12 moyens de faire de l'argent sur le web

Le web d’aujourd’hui regorge de possibilités. Cependant, il demeure un Far West (presque) sans règles où bien peu y trouveront le Klondike.

Par Hegg, E.A (1867-1948) [public domain], Provient de Wikimédia Commons

Cependant, sur le web, il existe plusieurs routes. Différents modèles d’affaires peuvent en effet s’appliquer et vous permettre d’avoir une présence web rentable. Je vous en propose 12:

Les usages classiques

  1. Par un site de commerce électronique.

    Évidemment. Toutes les grandes chaînes –aussi les petites- ont maintenant une boutique en ligne. Que ce soit la vente d’objets à faire livrer ou de biens électroniques à télécharger. Si on prend l’exemple de iTunes, c’est carrément l’industrie de la musique qui en subie les conséquences(négatives ou positives, à vous de juger). Reste que le commerce en ligne demeure une activité en forte expansion.

  2. Par la vente d’abonnements.

    Compte tenu de l’offre de contenus gratuits sur le web, c’est modèle est parfois difficile à appliquer pour les médias. Certains, comme le journal Le devoir semblent tout de même réussir à tirer leur épingle du jeu. Pour d’autres, il s’agit de vendre par abonnement un service très spécialisé. Il y a plusieurs sites de graphisme par exemple qui, plutôt que de vendre leurs thèmes WordPress à l’unité, vont offrir un accès à tous leurs thèmes par un abonnement annuel. Cela devient rentable pour les développeurs, qui en retour vous deviennent plus fidèles. Je ne parlerai même pas des nombreux sites de rencontres!

  3. Par la publicité sur votre site web.

    Google a fait sa fortune avec la vente de publicité AdWords. Vous pouvez ajouter ces publicités sur votre site via leurs services AdSense. Certaines entreprises comme BV!Média offre aussi des services spécifiques et plus localisés. Attention cependant! Ce moyen de faire de l’argent demande beaucoup, beaucoup de trafic sur votre site. Si vous n’avez que quelques centaines de visiteurs par mois, vos profits se compteront en sous.

  4. Par la vente d’un service.

    Ici on va plus loin que l’abonnement qui donne accès à du contenu en ligne ou à télécharger. Différentes formes sont possibles: consultation par vidéoconférence, soumission en ligne, proposition de services sur une base horaire ou mensuelle, etc. Plusieurs types de services peuvent être vendus sur le web.

Les moyens indirects

  1. Par un formulaire de réponse ou de contact.

    Peu importe le genre de votre site web, vous avez une attente envers vos visiteurs; une conversion souhaitée. Les 4 premiers éléments de ce billet sont des exemples de conversion. Par contre si vous êtes un consultant, vous recherchez des clients potentiels. Ceux-ci vous contacteront par courriel ou par un formulaire directement sur votre site web. Il faut donc que cette attente et la façon d’y arriver soient très claires sur votre site.

  2. Par la création d’une e-réputation.

    Ces bien beau d’avoir un joli formulaire, mais votre prospect de visiteur doit avoir envie de le remplir. Il est rare que la lecture d’une seule page ou d’un seul billet de votre blogue mènera à un résultat immédiat. Le visiteur cherchera à savoir avec qui il pourrait faire affaires. Pour plusieurs, cela se fera par une recherche de votre nom et de votre entreprise sur Google. Il vaut donc la peine de faire une recherche sur soi-même et voir ce qui en ressort. Avec ce résultat, vous verrez ce qui apparaît sous votre nom et pourrez agir en conséquence. C’est pour cette raison que je parle parfois de mes “illustres” homonymes, pour que la distinction soit claire et précise.

  3. Par l’utilisation d’une veille efficace.

    Attendre d’être trouvé ne suffit pas. Il faut aussi s’avoir s’inviter là où sa présence pourrait être appréciée. Participer à des groupes sur Facebook et LinkedIn, commenter des billets de blogue, répondre et retweeter des messages intéressants sont autant de moyens de se faire connaître de ces personnes. Il est donc utile d’avoir une stratégie de détection d’opportunités pour trouver les endroits où vous devriez être vu. Certains sites spécialisés comme Agent solo vous permettent de simplifier ce processus.

  4. Par les réseaux sociaux.

    Participer ne suffit pas? Vous pouvez aussi initier un blogue et des groupes qui parleront, non pas de vous, car l’auto-promotion à outrance n’attire pas, mais d’un sujet pour lequel vous avez une expertise ET une passion. Le ET est capital, car si vous n’avez que l’un des deux, les gens seront peu enclins à vous suivre de façon régulière. Il est donc beaucoup moins probable que vous serez le premier dans leur esprit le jour où vos talents seront requis.

Les nouveaux moyens auxquels on ne pense pas toujours

  1. Par le modèle “Freemium”.

    Il s’agit d’offrir un service de base tout à fait gratuit, et d’ajouter des options payantes. Il existe plusieurs variantes: faire payer pour certaines fonctions, faire payer à partir d’un certain volume ou faire faire payer pour enlever la publicité ou le logo d’entreprise. L’avènement de l’informatique dans les nuages permet de réduire considérablement le coût d’une telle stratégie. Chris Anderson, de Wired en fait une éloquente description dans ce billet. Le site Zoho.com offre de nombreux outils en ligne selon ce modèle.

  2. Par l’utilisation d’outils à code source libre.

    Comment? Utiliser du gratuit pour faire de l’argent? Absolument! Et plusieurs le font sans s’en rendre compte. Par exemple si vous offrez des sites web en utilisant un système de gestion de contenu comme WordPress, c’est souvent plusieurs années et des milliers (millions?) de dollars en développement que nous n’avez pas à investir pour passer directement à la vente de votre produit/service.

  3. Par l’utilisation de la foule (crowdsourcing).

    Certaines entreprises ou industries vont lancer sur le web des appels d’offre et vous offrir la chance d’effectuer une tâche ou de proposer une solution à un problème précis. Le site Mechanical Turk vous fera faire de petites tâches qui ne peuvent être confiées à des machines, tandis qu’Innocentive offre des défis pour résoudre des problèmes très précis.

  4. Par l’usage des liens d’affiliation.

    Ce n’est pas un outil très connu. Cependant, certains sites vous offrent des commissions sur les ventes générés par les visiteurs qui parviennent via votre site. Vous pouvez par exemple utiliser un lien affilié d’Amazon chaque fois que vous parlez d’un livre. J’aime bien l’exemple de Chris Brogan, car il le fait de façon transparente et spécifie toujours qu’il s’agit d’un lien affilié. Il y a de nombreuses possibilités, mais comme pour la publicité, il faut cependant du volume pour que cela devienne intéressant.

Il existe des milliers d’exemples! Je n’en ai énuméré ici que quelques-uns qui sont facilement accessibles aux petites entreprises. Une combinaison d’une ou de plusieurs de ces stratégies peuvent mener à votre succès. Cepedant, peu importe votre modèle d’affaires, il importe d’avoir dès le départ un plan d’affaires spécifique au web qui dressera une stratégie claire.