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Je viens de terminer… disons à 90%, la présentation que je ferai dimanche prochain au Podcamp Montréal. Il me reste quelques petites retouches, une image par-ci par-là, et je vais sans doute faire quelques modifications de dernière minute après avoir vu comment ça se passe la première journée. Pour voir en détail de quoi je vais parler, regardez ce billet sur le blogue de mon entreprise, la webothèque.com.

Parler en public peut en dérouter plus d'un

Parler en public peut en dérouter plus d'un

Ce que je veux plutôt aborder ici, c’est tous les états par lesquels ont peut passer lorsqu’on se jette dans le vide  –  il n’y a pas d’autre façon de le dire  –   et qu’on ose se commettre devant un public. Pour ma part ce sera ma première conférence en 5 ans, et la première sur ce sujet. Je ne suis pas ce qu’on peut appeler un gourou des médias sociaux.

Qu’est-ce que je fais là alors? Eh bien le défi est intéressant. Ce sera une belle occasion de voir si je maîtrise mon sujet aussi bien que je crois avec les questions qui risquent d’être posées. C’est aussi une belle carte de visite. Une occasion en or de se faire connaître et reconnaître dans un milieu que l’on veut intégrer.

D’autre part, et surtout, faire une présentation autour d’une table devant 3-4 personnes est une chose, c’est un climat plus amical, il peut s’installer une complicité, souvent nous connaissons ceux à qui on s’adresse, etc.  Mais devant un vrai public, personne n’interrompt en plein milieu d’une phrase pour poser une question. Si ce n’est pas intéressant, ils n’ont qu’à partir, ce qui peut en inciter d’autres à partir. Pas très encourageant… Ou au contraire, si c’est intéressant, si on sait capter l’auditoire, non seulement les gens demeurent, mais ceux qui sont dans le couloir et qui ne font que prêter une oreille distraite, finissent par venir s’asseoir et la conférence se termine avec plus de gens qu’au début. Et ça, c’est très agréable.

Bien sûr il y a le trac. La peur de ne pas être à la hauteur, de figer devant la salle et les nombreux regards qui scrutent vos moindres gestes. Mais en même temps ça peut être enivrant, et la plupart du temps, ça passe après quelques minutes et ensuite tout ronronne comme un moteur dans l’huile.

Je serai donc au micro dimanche matin, 10 heures, pour vous expliquer ce que peuvent faire les systèmes de gestion de contenu dans le contexte d’une petite entreprise ou d’un travailleur autonome. Je reviendrai bonifier ce billet dimanche soir ou lundi pour vous faire part de mon expérience.