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Des followers, ou des Faux-lowers?

Des followers, ou des Faux-lowers?

La valeur de votre audience sur Twitter

Twitter est un outil terriblement utile pour communiquer, faire de la veille et suivre des personnes / entreprises d’intérêts. Lorsque l’on désire passer un message, qu’il soit personnel, commercial ou politique, la première condition pour être le moindrement efficace est d’avoir une audience qui sera à l’écoute.

Or, avoir plus de 1000 followers sur Twitter ne signifie pas avoir une grande audience. En effet il y a plusieurs «faux-lowers» qui ne sont pas dans votre liste parce que vous êtes intéressant et pertinents:

  • Ceux qui ne veulent qu’avoir des gros chiffres: Ils suivent tout ce qui bouge, mais retirent tout ceux qui ne donnent pas la réciproque après quelques jours. Ces derniers n’interagissent jamais
  • Ceux qui vous suivent suite au retweet d’un contact commun.
  • Ceux qui ne vous suivent qu’en raison d’un tweet evec un #hashtag qu’il ont un jour remarqué
  • Les compétiteurs, qui vous suivent pour surveiller vos activités (avouez que vous le faites vous aussi!)
Dans la vaste majorité du temps, ces derniers n’apporteront pas beaucoup de valeur, ni un gros taux de conversion. Une des erreurs les plus fréquentes est de suivre des gens qui nous ressemblent trop.
En contrepartie, il y a aussi des «vrai-lowers» pourrait-on dire, qui eux au contraire vous apportent de la valeur et de la visibilité:
  • Ceux qui interagissent avec vous sur une base régulière
  • Ceux qui même sans interaction directe, passent vos messages en vous re-tweetant sur un base régulière.
  • Ceux qui vous citent comme référence dans un domaine précis
En identifiant le type d’auditoire que vous avez, vous serez en mesure d’ajuster votre discours et vos messages en fonction des interactions les plus rentables. Cela vous aidera aussi à identifier des niches et regarder dans cette direction afin d’inciter les “bons” followers à vous suivre et à interagir avec vous!
Les "sitelinks" arrivent en force sur Google

Les "sitelinks" arrivent en force sur Google

Google apporte plusieurs, plusieurs mises à jour à son moteur de recherches chaque année. Bien que la majorité passent inaperçues. Il arrive aussi parfois des changements plus importants comme la désormais célèbre mise à jour Panda. Celle-ci provoque des remous, surtout pour des sites qui se sont construit sur du contenu dupliqué, que ce soit de manière légitime ou non.

Ceci dit, le changement qui m’impressionne le plus ces dernières semaines pour ses conséquences en référencement SEO en la mise en place des “site-links”, ou la façon dont Google a ré-arrangé les premiers résultats de recherches pour les sites d’importance.

Comme le montre l’article officiel de Google sur ces nouveau sitelinks, pour le même résultat, la page qui donnait ceci:

Donne maintenant cela:

 

C’est très joli et plutôt gratifiant lorsque l’on s’occupe du site qui obtient tout cet espace dans la première page d’une requête importante. Mais pour celui qui arrive 2e, il peut maintenant être totalement invisible à l’écran tant que le visiteur ne descend pas plus bas dans la page.

Pour une PME qui se bat contre une entreprise qui a une telle visibilité, cela peut être assez agaçant. Le site qui obtient cette première place le fait grâce au volume de pages et de visiteur qu’il a. Cela peut donc amener certains changements dans les mots clés à viser.

Merci à Francis Vallières et Francine Morin pour les références

Le web Show 2.5 Google Plus et comparaison des réseaux sociaux

 

Lors de ce court épisode du 28 août, J’ai parlé des réseaux sociaux, de même qu’un petit historique. En plus, un site web pour comparer des pommes et des pommes.

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Sites mentionnés
Google+, la nouvelle étoile des réseaux sociaux. Vraiment?

Google+, la nouvelle étoile des réseaux sociaux. Vraiment?

 

Pour les PME sur Google+

Depuis quelques semaines, le nouveau réseau social Google + s’est ouvert au public. Et depuis quelques jours, je vois de plus en plus de messages un peu partout y allant de prédictions et de paris sur qui remportera la «guerre sociale» sur le web. Alors aussi bien y aller à mon tour! Mais vous risquez d’être quelque peu déçu!

1. Ceux qui savent déjà n’on aucune idée de quoi ils parlent

Il y a quelques mois j’ai écrit un billet sur la courbe d’adoption des technologies. Si on suit la logique de ce graphique, il es facile de constater que Google+ se trouve présentement en haut du premier pic, soit l’enthousiasme maximum. D’ici quelques semaines, tout ceci s’essoufflera; c’est de la façon dont le réseau se soulèvera la deuxième fois (dernière partie de la courbe), que l’on saura si l’adoption sera générale.

2. Ce n’est pas Facebook qui fait la popularité de Facebook

De quossé? Cette phrase peut sembler contradictoire je sais! Mais de façon objective, pourquoi passez-vous plus de temps sur facebook que sur Google, seulement pour attendre de voir ce que les autres ont a dire et leur répondre? Twitter le fait déjà très bien merci. Par contre, pour les amateurs de jeux et les fans de marques ou de groupes, Facebook compte de très nombreuses applications et des page dédiées aux PME ou à des sites web qui veulent s’y créer des communautés d’intérêt. Tout ceci s’articule autour d’une API solide et ouverte qui permet a quiconque de personnaliser l’utilisation et le visage qu’il souhaite donner à sa présence. Or pour le moment, cette API n’est pas ou peu diffusé pour Google+. Il faudra donc voir comment les développeurs l’utiliseront et ce qui sera offert dans les prochains mois pour en connaître le véritable potentiel.

3. Vous avez combien de tantes dans vos cercles?

Pour le moment, ce sont surtout utilisateurs hâtifs, ou «early adopters» qui sont présents, malgré qu’on commence y voir des gens qui ne sont pas geeks, mais tout de même de grands utilisateur d’internet. Dans les fais, le grand public n’y est pas encore. Vous serez plusieurs à me répondre, avec raison, que la vitesse pour acquérir x millions de membres fût beaucoup plus rapide que pour Facebook ou Twitter. Il y a cependant un différence majeure: Nous savons tous ce que sont les réseaux sociaux et les interactions que nous pouvons y faire. Il est donc beaucoup plus facile de s’y faire une place que lorsque qu’on se doit en plus de créer la demande pour un nouveau type de service. Et lorsque qu’on regarde la force de frappe de Google pour diffuser un message… ce n’est plus si impressionnant.

 

Mes deux cents..

Ce que j’en pense vraiment? Il y a un potentiel certain. Mais compte tenu de tout ce que je viens d’écrire, Je ne peux vraiment pas dire si dans un an, nous en parlerons comme le nouveau Facebook, ou le nouveau Wave.

Quoi surveiller pour un référencement (SEO) efficace en 2011

 

Ce n’est un secret pour personne que Google ne dévoile pas ses secrets. Pourtant, pour optimiser un site web efficacement, Il faut savoir comment les changements que nous apportons seront perçus, car cela aura un impact sur les résultats. Bien sûr, les conseils principaux demeurent:

  • Avoir du contenu unique et de qualité
  • Éviter les dédoublement (si vous pouvez afficher votre site avec et sans les www, c’est comme avoir 2 sites jumeaux aux yeux de Google)
  • Connaître ses mots-clés et tabler dessus
  • Utiliser ces mots dans plusieurs éléments: adresse, titre, images, etc.
  • Éviter les techniques proscrites, comme placer du contenu invisible aux visiteurs.

Savoir ce qui influence son référencement

Ceci dit, Google prend en compte environ 600 paramètres différents pour classer les milliards de pages indexées, et mets à jour régulièrement son système, Pour une PME ou un travailleur autonome, il devient donc très difficile de suivre cette évolution.
Heureusement, certaines entreprises comme SEOMoz font des enquêtes et rendent parfois des données publiques à ce sujets. Il s’agit en fait des résultats d’un sondage mené auprès d’entreprises reconnues dans le milieu, dont NVI au Québec, afin d’en connaître un peu plus long sur ce qui influence en 2011.

[slideshare id=7639495&doc=ranking-factors-sydney-2011-110415090031-phpapp02]

 

On y apprend en autres que:

  • Un site qui est mal optimisé au départ dans ses page et l’ensemble du domaine sera toujours en difficulté (pas de surprise)
  • Les médias sociaux ont un poids bien réel dans les résultats, mais pas tant que ça
  • Il faut des liens entrants, mais la qualité des sites référents et leur diversité valent plus que le total absolu
Cette étude montre un bon aperçu de ce que vous devrez prendre en compte pour être bien référencé. Avec une bonne évaluation de l’état de votre site, des correctifs souvent pas si compliqués à implanter et une stratégie, même avec des moyens très limitées mais appliquée de façon constante, un petit site saura faire une marque appréciable dans son marché de niche.
Parler à sa webcam

Parler à sa webcam

De plus en plus, les webcams deviennent présentes dans nos vies. Que ce soit avec des applications comme MSN, skype ou Facetime, ou encore avec les nouveaux outils mobiles comme le iPad2 qui permettent la vidéoconférence via les réseaux 3G, ces outils sont de plus en plus utilisé dans un contexte professionnel.

Les applications de vidéoconférence sont de plus en plus nombreuses

Ceci dit, bien que ces outils soient désormais facilement accessibles aux PME, il faut quand même un minimum de travail pour donner un aspect professionnel. Ce billet du site eHow vous en donne un bon aperçu (en anglais): http://www.ehow.com/how_4824702_good-during-online-webcam-interview.html

En bref, ne produisez pas du contenu que vous n’aimez pas regarder vous-même. Il faut bien sûr essayer et parfois aussi faire des erreurs pour s’y développer une expertise. Pour ma part, je penser bien faire renaître ma petite web télé sur ce site au cours des prochaines semaines…