À l’heure des médias sociaux, simplement y faire du bruit N’est pas suffisant pour réussir à y faire de bonnes affaires. L’une des erreurs les plus communes est de croire qu’il suffit de faire passer vos prospects du réseaux à la page d’accueil de votre site pour que la magie opère. Hélas, si vous vous êtes reconnus, j’ai le regret de devoir vous inscrire dans la catégories des «penseurs magiques»!
Voici donc 5 petits conseils pour vous aider à faire en sorte que vous efforts sur les réseaux sociaux donnent des résultats concrets.
1- N’essayez pas de parler à tout le monde en même temps
Le concept de persona est important aussi sur les réseaux sociaux. Bien que vous avez plusieurs types d’amis / prospects dans vos listes, lorsque vous vous adressez à eux dans un but de conversion, ciblez une personne, ou un groupe ayant des intérêt communs; ensuite dites-vous que ce n’est qu’à eux que vous parlez. Si vous réussissez une conversion par publication, ce sera très bien! Cela est particulièrement vrai pour les blogues. Chaque billet ne devrait s’adresser qu’à un persona à la fois.
2- Trouvez quelle sera la meilleure page pour ce que vous avez dit
Votre message à fait mouche et vous m’avez fait cliqué sur votre lien? Excellent! Ceci dit, tout ce que vous avez réussi, c’est à me faire passer la porte de votre entreprise sur le web. Est-ce que la page ou je suis répond à ce qui était annoncé? Est-ce que je trouve rapidement cette information? Est-ce que j’y trouve assez de nouvelles données pour satisfaire la curiosité créée par le message original?
Si Vous n’avez pas 3 fois oui comme réponse, quelque chose cloche. La solution peut parfois se trouver dans l’amélioration de la page, mais parfois aussi dans la création d’un page de destination -ou «landing page» qui serait dédié à une clientèle précise. Celle-ci n’a pas besoin d’apparaître dans vos menus, mais doit faire du sens selon la provenance de vos visiteurs.
3-Votre attente envers le visiteur doit être claire
Selon ce que vous faites, il peut s’agir de plusieurs chose: achat en ligne, demander un soumission, s’abonner à l’infolettre, etc. Encore une fois, ne surchargez pas les attentes. Il ne devrait pas avoir plus d’un «appel à l’action» par page.
4-Il vous faut mesurer à quel point vous êtes efficace
Bien sûr, vous avez déjà un outil analytique dans votre site (si non, vous devez rapidement contacter un professionnel!). Comme vous savez sur quelle page vos visiteurs sont arrivés, vous pourrez utiliser cette url comme page d’entrée pour mesurer sont efficacité. Voilà une autre raison pour ne pas les diriger vers la page d’accueil.
5-En comparant, vous trouverez votre mode de conversion
Dans ce genre d’analyse, les données absolues sont rarement très utiles. Ce qu’il l’est en revanche, c’est de pouvoir comparer plusieurs essais. Ici, les possibilités me manquent pas: heure de la journée, date, long texte ou petite description, grande photo ou aucune, composer plusieurs types de messages pour la même page de destination…. et plus encore.
C’est ici que la structure mise en place devient payante. En effet, vous n’apprendrez pas seulement ce qui fonctionne le mieux pour vous, mais aussi qui s’intéresse à vous, ce qui les fait pencher vers votre offre, ce qu’il ont envie de trouver sur votre site. C’est n’est plus seulement un analyse de vos messages que vous aurez en main, mais une véritable petite étude marketing de vos réseaux sociaux.
De plus en plus, les webcams deviennent présentes dans nos vies. Que ce soit avec des applications comme MSN, skype ou Facetime, ou encore avec les nouveaux outils mobiles comme le iPad2 qui permettent la vidéoconférence via les réseaux 3G, ces outils sont de plus en plus utilisé dans un contexte professionnel.
Ceci dit, bien que ces outils soient désormais facilement accessibles aux PME, il faut quand même un minimum de travail pour donner un aspect professionnel. Ce billet du site eHow vous en donne un bon aperçu (en anglais): http://www.ehow.com/how_4824702_good-during-online-webcam-interview.html
En bref, ne produisez pas du contenu que vous n’aimez pas regarder vous-même. Il faut bien sûr essayer et parfois aussi faire des erreurs pour s’y développer une expertise. Pour ma part, je penser bien faire renaître ma petite web télé sur ce site au cours des prochaines semaines…
Plus d’un mois sans écrire sur ce blogue, c’est long!
Steve Wozniack fait partie de ceux qui sont allés bien au delà de ce que leur formation avait destiné.
Ceux qui me connaissent plus personnellement savent que les derniers mois furent pour moi des temps de changements très importants au niveau personnel. Comme le martèle le conférencier David Bernard (ben oui pour les lectricEs, c’est le même qu’au banquier!), il est parfois rentable de ralentir pour mieux réussir ensuite. Ces derniers temps furent donc aussi pour moi l’occasion de prendre quelques grandes respirations, placer certaines choses – il en reste encore beaucoup – et de faire le point sur ce que je souhaitais réellement pour mon futur à court et à long terme.
Plus que jamais, ce site et ce blogue seront au cœur de mes démarches futures. L’entrepreneur que j’ai été pendant plus de 8 ans bouille en moi; il serait illusoire de penser que je peut contenir ce désir indéfiniment. Les rôles de pourvoyeur, père, employé, et autres encore demandent parfois une conciliation complexe. Mais j’ai aussi la profonde conviction que la persévérance et le désir de vouloir aller au delà que ce qui existe aujourd’hui finiront par payer, avec les intérêts!
Évidemment, il faut un lot d’efforts pour y parvenir. Parmi ces efforts, j’entreprends ces jours-ci un retour à l’école à 33 ans! Je me suis en effet inscrit au certificat en systèmes d’information organisationnels de l’université Laval. De quoi y parle-t-on? Auparavant nommé certificat en commerce électronique, ce cours vise à former ses étudiant à utiliser les technologies de l’information modernes dans les entreprises. Cela rejoint donc ce que je visais déjà avec la Webothèque: Offrir aux PME et travailleurs autonomes des outils et des stratégies pour profiter pleinement du potentiel désormais offert par le web. Ce cours m’aidera donc à me perfectionner en ce sens, mais aussi à donner une meilleure légitimité à ma démarche. Car avouons-le, bien qu’il y aie des exemples fabuleux, la démarche autodidacte seule demande plus souvent qu’autrement à ses acteurs des réalisations hors du communs pour parvenir à un niveau enviable.
Comment vais-je arriver à concilier tous ces horaires? Ce qui me permet de suivre ce certificat, c’est que ce dernier est disponible entièrement via le web. Ainsi, je n’ai pas à me déplacer. Mieux encore, je n’ai pas besoin d’être présent au moment du cours (bien que j’essaierai d’y être le plus souvent possible). Les nouvelles technologies me permettent donc de faire ce cheminement d’une façon qu’il aurait été impossible il y a à peine quelques années.
Je n’oublies pas ce blogue dans tout ça, bien au contraire. Je compte bien vous faire profiter de cette expérience le plus rapidement possible!
La campagne électorale est maintenant lancée. Croyez-vous qu’il est possible que certains partis et/ou politiciens tentent d’utiliser le web et les médias sociaux pour promouvoir leur candidature durant cet élection? Je sais, si le sarcasme tuait, mon billet serait terminé!
Plus sérieusement, l’espace virtuel sera à coup sûr au centre de nombreux débats, avis, discussions… et sûrement quelques mescineries . Il importe donc pour un candidat et son entourage de savoir ce qui s’y passe et de savoir comment répondre. Il y a quelques années j’avais fait un tableau sur les façons d’agir et de réagir sur le web dans un contexte d’élection. J’en ai donc fait une mise à jour que voici:
Comme vous le voyez, une stratégie complète comporte plusieurs facettes. Ce tableau tente de résumer en une page la vue d’ensemble d’une stratégie lors d’une campagne – ou de n’importe quelle promotion- en plus d’un schéma des réactions à adopter.
Évidemment chaque cas est différent et demande réflexion. Vous pouvez me contacter si vous voulez en apprendre plus sur les façons de mettre au point une stratégie efficace!
Le web regorge d’outils et d’applications gratuites. Pourtant, si vous êtes comme moi, vous n’aimez pas travailler pour rien. Il faut donc parfois creuser un peu pour découvrir les motivations, ou plutôt les différents modèles d’affaires qui soutiennent ces gratuités. Parfois, cela peut s’avérer très utile et inspirant, mais parfois aussi il faut regarder sous le capot ou bien lire les conditions d’utilisation pour se rendre compte de la vraie valeur de ce “cadeau”.
Il y a quelques années, Chris Anderson du magazine Wired à publié le livre “free”, ou il explique que le prix pratiquement dérisoire du stockage et de la bande passante (lorsque l’on calcule le coût par unité ou par visite) fait en sorte que dans certains cas, même si cela ne se résume qu’à 1 vente par 10 000 “cadeaux offerts”, l’opération demeure tout de même rentable. Il va s’en dire que ce n’est pas-là un modèle unique; il existe aujourd’hui sur le web de nombreuses variantes.
Le modèle code ouvert ou “open source”
Plus blanc que blanc pourrait-on dire. Lorsqu’un programme est offert sous licence GPL, vous pouvez en faire presque tout ce que vous voulez. Quel est l’utilité d’une telle pratique? La force du groupe.
Souvent, ces outils ont démarré par le fruit d’un ou de quelques programmeurs. Au moment de tester, comme leurs ressources sont très limitées, trouver les problèmes – et leurs solutions – est souvent un processus long et ardu. Offrir tout son travail ainsi élimine certes la possibilité de le vendre, mais si une communauté solide se forge autour du projet, les possibilités de développement sont alors exponentielles. Un des exemples les plus connus est sans doute la plate-forme de blogue WordPress. Le coeur de l’application est développé par une communauté qui l’améliore jour après jour, mais des dizaines d’autres entreprises autour développent aussi des ajouts – ou plugins – de même que des thèmes graphiques pouvant se greffer à l’application initiale. Quant au créateur Matt Wullenberg, Il offre des services de consultation à certaines entreprises de même que certains services payants via le site wordpress.com.
Le modèle “Freemium”
Le modèle freemium est de plus en plus utilisé par les entreprises, surtout à l’ère des médias sociaux. Il s’agit le plus souvent d’un logiciel ou d’un service web pour lequel il existe une version de base gratuite, avec différents niveaux de services payants pouvant y être ajoutés par la suite. Dans la plupart des modèles récents, il n’y a pas de limite de temps à l’utilisation de la version gratuite.
Le principe, c’est que l’utilisateur va s’habituer et devenir de plus en plus à l’aise avec l’outil. Lorsque ses besoins grandiront, il sera alors tout naturel de migrer vers cette version payante. L’absence de temps limite (essai gratuit de 30 jours par exemple) est sécurisant selon moi, car cela permet d’essayer l’outil en fonction de ses besoin actuel, sans devoir acheter une version trop lourde pour le moment.
L’aspect donc il faut faire attention, c’est parfois les changements de terme au contrat. Un exemple récent est celui de DimDim, qui a été racheté par Salesforce, et dont le service s’est arrêté abruptement.
La licence Creative Commons
Dans le cas des licences Creative Commons, l’intérêt est de se faire connaître. Surtout dédié aux documents et oeuvres de toutes sortes, cette licence permet la diffusion gratuite, parfois à des fins commerciales, en autant que l’auteur original demeure cité. Pour la plupart des blogues, le contenu est diffusé sous cette licence.
Si vous n’avez aucune politique d’utilisation de vos contenus, il serait sans doute sage d’y jeter un oeil!
Il existe bien sûr de nombreuses variantes, mais le principe est toujours le même: Tenter à terme, d’obtenir plus que ce que l’on a donné au départ. N’est –ce pas la règle de base de toute entreprise?
Ces derniers jours j’ai refait la présentation de ma page d’accueil. Dans plusieurs articles j’ai souvent lu que la page d’accueil, d’un point de vue d’optimisation de site (SEO) était la moins importante. D’une certaine façon, c’est vrai.
La page d’accueil sert souvent à vous faire découvrir par “ceux qui vous connaissent déjà”, un contact à qui vous avez donné une carte d’affaires par exemple. Comme c’est la page la plus générale de votre simple après un formulaire de contact, il est normal qu’elle ressorte peu. Si le travail de référencement à été fait adéquatement, ce sont des pages spécifiques de votre site web qui vont ressortir. Un billet de blogue sur un sujet précis, la page de description d’un produit particulier ou une biographie ressortira souvent davantage, car cela représente des termes précis qui seront recherchés. Il importe donc de faire un travail de référencement particulier à ce niveau pour s’assurer que chacune de ces pages fasse ressortir les noms que l’on cible.
La page d’accueil, destination des médias sociaux
Cependant, les médias sociaux prennent de plus en plus de place dans les stratégies de marketing web. Les comptes Twitter, LinkedIn et Facebook pour ne nommer que ceux-là servent de plus en plus à se faire remarquer, à créer une communauté et à établir sa réputation. Pour chacun des profils et pages “sociales” que vous allez créer, vous y inscrirez inévitablement une page de destination sur votre site. Ainsi, il est très possible que de plus en plus, vos contacts et prospect atterrissent sur cette page. Cette dernière devient donc de plus en plus importante, non seulement parce que ce sera la première page vue par votre visiteur, mais aussi parce qu’elle se devra de répondre à l’attente que vous aurez vous-même créée par vos interventions sur Twitter ou autres.
Avoir plusieurs pages d’accueil?
La question que vous devez donc vous poser, surtout si vous avez plus d’un profil, est de savoir si l’internaute qui provient de LinkedIn vous visite pour la même raison que celui qui provient de Facebook. Selon la segmentation de vos activités, il est possible que vous utilisiez le premier pour recruter du nouveau personnel et le deuxième pour vendre votre produit vedette. ^
Ce ne sera pas utile pour tous, mais il est parfois profitable pour votre stratégie web de créer plus d’une page d’accueil; on parle à ce moment d’une page de destination. Celle-ci peut être un claque de votre véritable page d’accueil, mais son contenu sera alors optimisé pour répondre aux attentes d’un persona particulier.
J’ai déjà écrit cette dernière phrase dans mon blogue, mais je la répète: À vouloir rejoindre tout le monde en même temps, on finit par n’intéresser personne!