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Salons virtuels, un nouveau modèle?

Salons virtuels, un nouveau modèle?

Les site d'évènements virtuels devraient prendre plus de place dans les prochaines annéesQui ne connait pas Second Life?

Les univers dits “virtuels” sur le web ne datent pas d’hier. On prend place dans un univers 3D dignes des jeux vidéos pour y tenir plusieurs activités. Je vous laisse imaginer ce que vous voulez (!) et ne donnerai comme exemple que le campus virtuel du collège LaSalle. Il y a déjà plusieurs années que l’engouement maximal est retombé au profit des réseaux sociaux, mais ces univers continuent tout de même d’exister.

Une nouvelle tendance que je vois arriver tranquillement, ce sont des évènements de plus courte durée, comme le salon de l’emploi Technofil qui prendra place dans les prochains jours. Il y a aussi les évènements mixtes comme le Podcamp de Montréal, qui ajoutent sur le web du contenu pendant l’évènement, comme des web-diffusions en direct, avec plus ou moins d’interaction avec la communauté virtuelle.

Il y a aussi des foires virtuelles, comme la photo ci-haut, où l’ont recréé carrément une salle de congrès virtuelle pour y tenir des évènements tout aussi virtuels. Ici, il ne s’agit pas d’une immersion à la Second Life, mais plutôt de recréer l”ambiance d’un salon ou d’une foire. Le visiteur peut visiter des kiosques, prendre de l’information et discuter avec le représentant.

Voilà plusieurs modèles qui prendront assurément de l’expansion au cours des prochaines années. Est-ce qu’un modèle plutôt mixte que seulement virtuel deviendra la norme générale? Je ne saurais dire. Quoi qu’il en soit, Le web évolue constamment et rapidement. Les organisateurs qui croient avoir tout fait en créant une page Facebook et un compte Twitter manqueront assurément le train tôt ou tard.

Une nouvelle vedette en mauricie (humour)

Voici une information présentée ce samedi aux nouvelles. Prenez là avec le sérieux qu’il faut!

Cliquez ici pour voir le vidéo

Source : Le canal affaires

Le tout semble cependant une initiative de l’émission Génération inc.

Il s’agit là d’un projet qui peut provoquer un fort effet viral, étant donné que n’importe qui, vous y compris, pouvez maintenant passer aux nouvelles.

Je crois que l’on verra de plus en plus ce genre de site où l’on peut devenir le héros en quelques secondes. Plus tôt cette année, il y avait eu le site français Jetueunami.com

C’est Bruno Larouche de café-vrac.ca qui m’a fait découvrir ce site. Merci !

Les groupes LinkedIn maintenant ouverts sur le web

Les groupes LinkedIn maintenant ouverts sur le web

Les nouveau groupes LinkedIn Depuis environ une semaine, le site de réseautage professionnel LinkedIn a fait une modification que je considère importante dans la gestion des groupes de discussion.

Il est désormais possible pour les administrateurs de rendre leurs groupes ouverts à tout le monde, y compris ceux qui ne sont pas membres du réseau, y compris aussi – et surtout – aux moteurs de recherche. Ce changement est très important selon moi ,car il permet maintenant d’utiliser LinkedIn pour faire de la promotion au même titre qu’une page Facebook. Depuis l’automne, l’ajout de fonctions de partage, comme les fameux “j’aime”, démontre une forte volonté de rejoindre une clientèle plus large.  Il faut dire que Facebook ajoute de plus en plus de fonctions destinées aux entreprises ( dont des statistiques pour chaque publication sur une page ).

Linkedin groupe ouvert

annonce groupe ouvert linkedin

Il sera intéressant de voir en 2011 si ces nouvelles fonctions mèneront à une bataille entre ces deux réseaux. Il apparaît évident qu’au total des usagers, Facebook demeurera en tête. Mais le B2B (commerce entre entreprises) et tout ce qui touche au recrutement sont des enjeux majeurs du web. Mouvement de masse en vue?

Qui se ressemble s'assemble (ou comment attirer ceux que vous voulez vraiment rejoindre)

Qui se ressemble s'assemble (ou comment attirer ceux que vous voulez vraiment rejoindre)

Qui se ressemble s'assembleLorsqu’on décide d’entreprendre une relation bidirectionnelle avec ses clients et prospects sur le web , on s’engage – même si on ne le sait pas à ce moment! – dans une aventure à long terme. Il ne s’agit pas d’une quête avec un objectif final, mais d’un marché permanent à la recherche de nouveaux contacts, de connecteurs et de personnes qui nous influenceront. Plus vous serez passionné dans votre action, plus votre réseau s’agrandira rapidement. Tant mieux! c’est le but.

Cependant, après quelque temps, vous voue rendrez peut-être compte que la passion pour votre domaine vous rapporte des contacts… de passionnés de votre domaine. Cela est très bien pour maintenir une veille efficace et connaître les nouveautés dans ce domaine qui vous passionne tant.

Mais…

Était-ce votre but? La première ligne de cet article parlait de prospects et de clients non? Vous seriez-vous trompé de cible? Serait-il possible, oh malheur, que votre passion ne soit pas contagieuse envers ceux que vous voulez vraiment rejoindre?

Ne vous en faites pas! Si vous attirez des gens de votre champ de pratique, vous répondez déjà à la première question: vous êtes pertinent! C’est une bonne nouvelle, car cela signifie que lorsque vos clients actuels ou futurs tomberont sur vous ils se trouveront entre de bonnes mains. Mais il faut réussir à les faire trébucher sur vous.

Voici donc 3 trucs tout simples:

  1. Utilisez des exemples ciblés.

    Vous voulez rejoindre des propriétaires de restaurant? Parlez d’exemple de votre domaine qui s’appliquent à la restauration, utilisez Foursquare qui publie vos fréquentations ou publiez un commentaire, peut-être plus personnel, sur votre dernière trouvaille. Un restaurateur le remarquera et voudra en savoir plus sur vous.

  2. Participez à leur réseaux à eux.

    D’accord, leur passion n’est pas la vôtre. Mais déjà connaître votre futur client avant qu’il ne vous contact l’impressionnera à coup sûr. Pratiquement tous les outils de réseaux sociaux vous permettent de faire des listes. Vous pouvez donc sectoriser vos listes selon différentes catégories. Vous pourrez donc vous tenir au courant des nouvelles de ce secteur d’activité. De plus, lorsque vous publierez quelque chose qui les concerne ( no.1 ), vous pourrez leur faire parvenir directement.

  3. Participez à des rencontres hors ligne.

    Des événements comme les TweetUp, Yulbiz et Focus20 sont d’excellentes occasion de réseauter avec des gens de différents milieux. Chaque fois que je vais à l’un de ces événements, j’ai toujours de nouveaux contacts à rajouter à mes listes, ou qui se rajoutent par eux-mêmes.

Vous avez surement vous aussi de petits trucs pour rejoindre ceux que vous voulez attirer plutôt que ceux qui partagent vos passions et intérêt. La discussion est ouverte!

12 moyens de faire de l'argent sur le web

12 moyens de faire de l'argent sur le web

Le web d’aujourd’hui regorge de possibilités. Cependant, il demeure un Far West (presque) sans règles où bien peu y trouveront le Klondike.

Par Hegg, E.A (1867-1948) [public domain], Provient de Wikimédia Commons

Cependant, sur le web, il existe plusieurs routes. Différents modèles d’affaires peuvent en effet s’appliquer et vous permettre d’avoir une présence web rentable. Je vous en propose 12:

Les usages classiques

  1. Par un site de commerce électronique.

    Évidemment. Toutes les grandes chaînes –aussi les petites- ont maintenant une boutique en ligne. Que ce soit la vente d’objets à faire livrer ou de biens électroniques à télécharger. Si on prend l’exemple de iTunes, c’est carrément l’industrie de la musique qui en subie les conséquences(négatives ou positives, à vous de juger). Reste que le commerce en ligne demeure une activité en forte expansion.

  2. Par la vente d’abonnements.

    Compte tenu de l’offre de contenus gratuits sur le web, c’est modèle est parfois difficile à appliquer pour les médias. Certains, comme le journal Le devoir semblent tout de même réussir à tirer leur épingle du jeu. Pour d’autres, il s’agit de vendre par abonnement un service très spécialisé. Il y a plusieurs sites de graphisme par exemple qui, plutôt que de vendre leurs thèmes WordPress à l’unité, vont offrir un accès à tous leurs thèmes par un abonnement annuel. Cela devient rentable pour les développeurs, qui en retour vous deviennent plus fidèles. Je ne parlerai même pas des nombreux sites de rencontres!

  3. Par la publicité sur votre site web.

    Google a fait sa fortune avec la vente de publicité AdWords. Vous pouvez ajouter ces publicités sur votre site via leurs services AdSense. Certaines entreprises comme BV!Média offre aussi des services spécifiques et plus localisés. Attention cependant! Ce moyen de faire de l’argent demande beaucoup, beaucoup de trafic sur votre site. Si vous n’avez que quelques centaines de visiteurs par mois, vos profits se compteront en sous.

  4. Par la vente d’un service.

    Ici on va plus loin que l’abonnement qui donne accès à du contenu en ligne ou à télécharger. Différentes formes sont possibles: consultation par vidéoconférence, soumission en ligne, proposition de services sur une base horaire ou mensuelle, etc. Plusieurs types de services peuvent être vendus sur le web.

Les moyens indirects

  1. Par un formulaire de réponse ou de contact.

    Peu importe le genre de votre site web, vous avez une attente envers vos visiteurs; une conversion souhaitée. Les 4 premiers éléments de ce billet sont des exemples de conversion. Par contre si vous êtes un consultant, vous recherchez des clients potentiels. Ceux-ci vous contacteront par courriel ou par un formulaire directement sur votre site web. Il faut donc que cette attente et la façon d’y arriver soient très claires sur votre site.

  2. Par la création d’une e-réputation.

    Ces bien beau d’avoir un joli formulaire, mais votre prospect de visiteur doit avoir envie de le remplir. Il est rare que la lecture d’une seule page ou d’un seul billet de votre blogue mènera à un résultat immédiat. Le visiteur cherchera à savoir avec qui il pourrait faire affaires. Pour plusieurs, cela se fera par une recherche de votre nom et de votre entreprise sur Google. Il vaut donc la peine de faire une recherche sur soi-même et voir ce qui en ressort. Avec ce résultat, vous verrez ce qui apparaît sous votre nom et pourrez agir en conséquence. C’est pour cette raison que je parle parfois de mes “illustres” homonymes, pour que la distinction soit claire et précise.

  3. Par l’utilisation d’une veille efficace.

    Attendre d’être trouvé ne suffit pas. Il faut aussi s’avoir s’inviter là où sa présence pourrait être appréciée. Participer à des groupes sur Facebook et LinkedIn, commenter des billets de blogue, répondre et retweeter des messages intéressants sont autant de moyens de se faire connaître de ces personnes. Il est donc utile d’avoir une stratégie de détection d’opportunités pour trouver les endroits où vous devriez être vu. Certains sites spécialisés comme Agent solo vous permettent de simplifier ce processus.

  4. Par les réseaux sociaux.

    Participer ne suffit pas? Vous pouvez aussi initier un blogue et des groupes qui parleront, non pas de vous, car l’auto-promotion à outrance n’attire pas, mais d’un sujet pour lequel vous avez une expertise ET une passion. Le ET est capital, car si vous n’avez que l’un des deux, les gens seront peu enclins à vous suivre de façon régulière. Il est donc beaucoup moins probable que vous serez le premier dans leur esprit le jour où vos talents seront requis.

Les nouveaux moyens auxquels on ne pense pas toujours

  1. Par le modèle “Freemium”.

    Il s’agit d’offrir un service de base tout à fait gratuit, et d’ajouter des options payantes. Il existe plusieurs variantes: faire payer pour certaines fonctions, faire payer à partir d’un certain volume ou faire faire payer pour enlever la publicité ou le logo d’entreprise. L’avènement de l’informatique dans les nuages permet de réduire considérablement le coût d’une telle stratégie. Chris Anderson, de Wired en fait une éloquente description dans ce billet. Le site Zoho.com offre de nombreux outils en ligne selon ce modèle.

  2. Par l’utilisation d’outils à code source libre.

    Comment? Utiliser du gratuit pour faire de l’argent? Absolument! Et plusieurs le font sans s’en rendre compte. Par exemple si vous offrez des sites web en utilisant un système de gestion de contenu comme WordPress, c’est souvent plusieurs années et des milliers (millions?) de dollars en développement que nous n’avez pas à investir pour passer directement à la vente de votre produit/service.

  3. Par l’utilisation de la foule (crowdsourcing).

    Certaines entreprises ou industries vont lancer sur le web des appels d’offre et vous offrir la chance d’effectuer une tâche ou de proposer une solution à un problème précis. Le site Mechanical Turk vous fera faire de petites tâches qui ne peuvent être confiées à des machines, tandis qu’Innocentive offre des défis pour résoudre des problèmes très précis.

  4. Par l’usage des liens d’affiliation.

    Ce n’est pas un outil très connu. Cependant, certains sites vous offrent des commissions sur les ventes générés par les visiteurs qui parviennent via votre site. Vous pouvez par exemple utiliser un lien affilié d’Amazon chaque fois que vous parlez d’un livre. J’aime bien l’exemple de Chris Brogan, car il le fait de façon transparente et spécifie toujours qu’il s’agit d’un lien affilié. Il y a de nombreuses possibilités, mais comme pour la publicité, il faut cependant du volume pour que cela devienne intéressant.

Il existe des milliers d’exemples! Je n’en ai énuméré ici que quelques-uns qui sont facilement accessibles aux petites entreprises. Une combinaison d’une ou de plusieurs de ces stratégies peuvent mener à votre succès. Cepedant, peu importe votre modèle d’affaires, il importe d’avoir dès le départ un plan d’affaires spécifique au web qui dressera une stratégie claire.