Lors de cet enregistrement de ma petite webtélé le WebShow, je vous présente quelques outils que j’utilise dans le cadre de mon travail de référencement web. Bien sûr le tout accompagné de plusieurs exemples et de quelque trucs. Bonne écoute!
SEO Quake Un “plugin” contenant plein d’outils intéressant pour analyser ses pages et celles des compétiteurs web
Open site explorer Permet d’analyser l’autorité d’un site web et de voir facilement les liens qui donnent cette autorité. Très utile pour le “link building”
Webmaster tools L’outil d’analyse de votre site de Google, vous devez prouver que vous être propriétaire du site pour y avoir accès.
N’hésitez pas à me faire part dans les commentaires de l’outil qui vous intéresse le plus dans cet arsenal du référencement web. Je pourrai en faire un épisode complètement dédié!
Il y a quelque temps, André Bérard donnait une entrevue au journal les affaires sur sa nouvelle implication en mentorat. Je vois souvent des projets et des initiatives de mentorat prendre forme, et le plus souvent c’est poussé par des organismes de développement (CLD ou autres). D’ailleurs, une simple recherche avec le mot mentorat sur Google ne montre aucun exemple réel dans les trente premiers résultats…
Ce qui m’agace, c’est qu’on entend plus souvent parler de la démarche que des cas concrets, des réalisations, des statistiques. Est-ce que le mentorat aide tant que ça? Ou au contraire est-ce la vanité personnelle qui fait que les volontaires manquent à l’appel? Ou est-ce simplement la formule qui n’est pas adaptée? Il y a peut-être lieu de repenser la formule classique du mentorat.
Pour ma part, je crois bien qu’il faut d’abord faire une longue réflexion personnelle. Tout d’abord, il faut voir dans quel domaine on évolue. Le mentorat souvent prend des personnes d’une longue expérience, donc en retraite ou près de l’être, et qui ont souvent évolué dans un contexte différent que celui qui prévaut dans une entreprise d’aujourd’hui, surtout en démarrage. C’est particulièrement vrai si votre projet en est un d’avant garde, de nouvelle technologie, ou que vous tentez de percer avec un concept inédit.
Bien que le mentor saura vous faire remarquer des pièges insoupçonnés et vous donner des pistes de solutions quant à la gestion de votre projet, ce n’est souvent pas lui qui vous ouvrira de nouvelles portes ou des marchés oubliés. Bref, je crois qu’un mentor vous aidera surtout à savoir quoi ne pas faire! Ce qui dans plusieurs cas, peut s’avérer des plus utiles et des plus pertinents. Mais comme je l’écrivais plus haut, la vanité nous empêche parfois de voir ce genre de choses au moment où on en a besoin.
Il y a aussi des initiatives intéressantes, comme celle d’un conseil d’administration virtuel, qui nous invite à nous inspirer de personnalités (par leurs biographie, livre ou citation) et anticiper ce qu’eux-mêmes auraient fait dans une situation semblable.
Et vous, vous avez eu des expériences, bonnes ou mauvaises?
Ça ne coûte rien : donc, je consomme. Si ça ne répond pas à mes attentes : je jette, ça n’a rien couté de toute façon.
Vraiment?
Si vous considérez que votre temps ne vaut rien, alors oui. Ce qui suit ne vous concerne pas (mais comme votre temps ne vaut rien, vous ne l’aurez pas perdu à lire la suite quand même!).
Même s’il est maintenant difficile de parler d’un produit dans un blogue ou site qui permet les commentaires sans voir le lien vers la version OpenSource apparaître dans les premiers commentaires, il faut tout de même prendre conscience que dans un contexte d’affaires, un mauvais choix peut coûter très cher.
Attention! Je suis moi-même profondément convaincu que les outils gratuits peuvent plus que jamais rendre de grands services aux PME et aux travailleurs autonomes (voir le dossier concernant les gratuiciels sur mon site la Webothèque). Cependant, il faut savoir dans quoi on s’embarque, et si on a les prédispositions requises.
Voici donc une petite compilation des pour et des contres en ce qui à trait à l’utilisation d’outils gratuits dans votre entreprise.
Le coût bien sûr
C’est le principal avantage. Comme il n’y a aucun coût de départ, il est facile de s’approprier le service et logiciel et de le mettre en service. Si vous n’êtes pas convaincu de son utilité, vous prouver vous en servir comme un démo (ne pas tout transférer d’un coup, garder des sauvegardes ailleurs tester 2 ou 3 produits en parallèle, etc.). Ainsi, si après quelques semaines vous trouvez que les attentes ne sont pas remplies, il est facile de revenir en arrière.
Disponibilité immédiate
On n’a qu’à télécharge. Et comme ça ne passe pas par une boîte, il est facile de toujours obtenir la dernière version.
Facilité de le modifier à l’interne
On peut le bidouiller à notre guise et modifier les erreurs dès qu’on les voit. Bien sûr, il faut se débrouiller en programmation, ou trouver un consultant qui saura adapter le produit à un besoin particulier.
Les applications matures comportent de nombreuses communautés
Ils sont toujours très disponibles pour aider à corriger des bogues, adapter des configurations, et dénicher pour nous le plug-in qui apportera la fonction désirée.
De plus en plus de consultants sont là pour aider
De nombreuses entreprises se spécialisent désormais dans l’intégration et la modification de gratuiciels. Bien que ces services soient payants, vous ne payez que pour la « plus value » apportée au logiciel de base.
OK. C’est quoi l’attrape?
Il n’y a aucune attrape. Cependant, vous devez être conscient qu’un gratuiciel ne sera pas toujours aussi finit, en particulier du point de bue esthétique, que peut l’être une application commerciale. Il y aura moins de didacticiels disponibles, et peu d’entreprises à ce jour offrent des formations dédiées. Cependant, si vous vous débrouillez bien avec l’informatique, vous saurez rapidement vous adapter.
Prenez tout de même garde :
Comme c’est gratuit, il n’y a aucun support inclus.
Il faut donc être prêt à travailler dans la configuration, et peut-être perdre un peu plus de temps (malgré que parfois avec les lignes 1-800…)
Vous ne pouvez prévoir qu’un jour le projet prenne fin.
Vous n’aurez alors plus de mises à niveau.
Si vous travaillez avec un consultant
Qui programme une partie de code pour vos besoins spécifiques, vous devez vous assurer d’obtenir TOUS les codes sources à la fin du mandat. Sinon vous pourriez vous retrouver avec le pire des deux mondes: aucun support pour un problème auquel vous n’avez aucun accès.
Si à la lecture de ce billet vous avez sursauté, eu quelques sueurs froides, et commencé à faire des cauchemars en boucle, c’est peut-être que vous n’êtes pas encore prêt pour le saut. Sinon lancez-vous! Des applications comme OpenOffice sont maintenant très stables, et les fonctions offertes, même si elles sont moindres qu’avec MS Office, sauront répondre aux besoins de 98% des usagers.
Bien souvent les nouveaux entrepreneurs et les travailleurs autonomes ne savent pas trop par où commencer, et quelle route prendre. C’est un peu mon cas. J’ai créé récemment un nouveau site : webotheque.com. Ce site se veut un portail destiné aux PME (Petites et Moyennes Entreprises) et aux META ( Micro-Entreprises et Travailleurs Autonomes) afin de leur offrir des services en marketing web et dans l’utilisation des outils et logiciels gratuits disponible sur le web.
Pourquoi donc ce blogue-ci?
Tout simplement pour partager et discuter de tout ce qui ne cadre pas avec la mission “corporative” de mon site principal: Les brouillons (et parfois les gaffes), des sites utiles, des réflexions personnelles, etc.
J’espère donc que vous aurez plaisir à me lire et que vous contribuerez à rendre ce blogue instructif pour le plus grand nombre!